Mourir de plaisir
Datte: 12/04/2020,
Catégories:
fh,
couple,
parking,
amour,
volupté,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
init,
méthode,
journal,
Humour
Auteur: Karine2x, Source: Revebebe
... clito.
J’entends « pshitttttt » et je me retrouve le sexe couvert de crème Chantilly. Couverte et remplie, car il a écarté mes petites lèvres et introduit dans mon vagin le bec verseur de la bombe que j’avais laissée traîner sur la table.
— Ta chatte, c’est mon plat préféré, m’explique-t-il, devant mon air ahuri.
Il me lèche comme un esquimau glacé, me lape tel un petit chien à la recherche de la moindre goutte de crème. Punaise… Dire qu’il y a un mois je le lui interdisais. Endroit sale. Pas touche. Quelle conne !
Je prends sa tête entre mes mains pour la caresser, pour le coller à ma fente, pour lui faire comprendre que j’adore. Le vertige me gagne… sa langue est entrée dans mon vagin, elle entre, elle sort, il joue avec mes petites lèvres, les étire, les suce, il aspire et balaye mon clito dans tous les sens, il me rend folle… Je me laisse aller. Je m’abandonne. Mon bouton affolé irradie de plaisir, me crispant le ventre, me durcissant les seins.
Le fauteuil sous mes fesses est trempé d’un mélange mouille - Chantilly qui fait tache. Alors que j’allais me retrouver sous peu au septième ciel, mon Chéri décide de me porter sur la table. Il vire le couvert que j’avais installé, me fait allonger sur le dos, les fesses tout au bord. Il baisse son pantalon et son slip, dégrafe mon chemisier, me retire mes bottes et me laisse en soutif, bas et porte-jarretelles. Me prenant les mollets, il me monte les jambes en l’air en les écartant au max.
Il me pénètre avec ...
... délectation, regardant son sexe entrer centimètre par centimètre, écartant mes petites lèvres, poussant le restant de crème. Sensation délicieuse, divine des parois de mon vagin qui le serrent comme un gant et se déplient lentement. Une fois entré à fond, il me resserre les jambes, je me cale les pieds contre ses épaules, il me tire par les hanches, m’attirant vers lui et me poussant les cuisses jointes contre mes seins. Une position classique, référencée par le Kamasutra sous le nom de « l’enclume », si je ne m’abuse, qu’il adore parce qu’il peut pénétrer à fond dans un vagin bien serré.
Pierre me ramone de tout son long, sortant lentement, presque complètement, pour se renfoncer à fond avec force, presque violemment, me faisant faire un mouvement de balancier. Je dois m’accrocher au rebord pour ne pas être poussée jusqu’au milieu de la table.
Punaise… que je le sens bien ! Est-ce la position ?
Les yeux dans le vague, je me mets à gémir. Chaque coup de rein de plus en plus violent m’arrache un cri de plaisir. Je me fais défoncer, et j’aime. Oh oui… prends-moi comme ça, virilement. Tu n’as pas besoin de me ménager, je suis à toi. Montre-moi que je t’ai manqué, montre-moi que tu as une envie folle de mon corps.
Sans avoir besoin de me mettre la main entre les jambes, je me sens venir. Pourvu qu’il n’arrête pas… Une montée de plaisir différente, une jouissance qui ne vient pas de mon clitoris, comme habituellement, mais de plus loin, du fin fond de mon sexe, enfle, ...