1. Les roues de la fortune


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, handicap, intermast, Oral pénétratio, amourdura, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... au rail de la baie coulissante. Vous me suivez… enfin, si vous y arrivez !
    — Non, mais, y s’prend pour Ben Johnson le lambin. Nous, on s’entraîne avec Usain Bolt ! Tu vas voir un peu !
    
    De fait, elles sont rapides les gonzesses avec leurs fauteuils de compète, sûr que si elles connaissaient le chemin de ma piaule, elles me laisseraient dans le vent !
    
    Arrivées à la chambre, sifflements admiratifs :
    
    — Plutôt sympa la chambrette !
    
    Trente-cinq mètres carrés, tu parles, on n’est pas gênés aux entournures… Les filles détaillent le baisodrome, apprécient la déco :
    
    — Et par là, c’est la salle de bains ? demande Camélia. On peut voir ?
    
    Là encore, les demoiselles sont surprises. La salle d’eau est vaste : sur les quatre mètres du mur du fond, douche à l’italienne, large, accessible par les deux côtés. Au milieu, un vitrage sol-plafond de deux mètres cinquante de large la sépare du reste de la pièce. Sinon, doubles vasques, immense baignoire balnéo, au ras du sol, et dans un coin, protégé par un muret avec briques de verre en partie haute, des toilettes, très accessibles. Je n’avais évidemment pas prévu le besoin jusqu’ici, mais là, je me dis qu’on pourra sans problème rajouter des poignées de maintien sur les murs.
    
    — Pas mal, tout à fait adapté, constate Rosa. Mais, bon, si on passait aux choses… pas sérieuses ?
    
    Back to the fuck-room. Pas le temps de me retourner, mes athlètes sont déjà sur le lit. Incroyable leur agilité ! Elles ont foncé vers le lit, ...
    ... bloqué les freins, projection vers l’avant, ramping, elles sont en position, allongées sur le flanc, face à face, appuyées sur leurs coudes ! Moi, je me débarrasse de mon polo, de mon fute et de mes chaussettes. Les filles rigolent :
    
    — Non, mais, bleu-blanc-rouge le slibard ! Eh, viens par-là mecton, on va hisser les couleurs !
    
    Elles ont laissé un espace entre elles, mais je ne sais pas trop comment me placer. Et puis merde, on verra bien ! Je me glisse sur le lit. Je suis pris en sandwich, elles se calent contre moi. À partir de là, je ne maîtrise plus rien ! Bisous, baisers, pelles démentielles, je n’ai pas le temps de respirer en passant de l’une à l’autre. Et leurs mains, qui s’affolent sur mon torse, dégringolent sur mon ventre, s’en viennent peloter mon braquemart. De français, mon slip devient tente canadienne en moins de deux et les garces s’emploient allègrement à tester la résistance du mât !
    
    Moi, je suis plutôt empêtré : allongé sur le dos, coincé entre elles, je n’ai plus qu’à me croiser les bras. Ou plutôt à croiser les bras pour que mes mains puissent atteindre les rondeurs laiteuses aux pointes cramoisies. La vache, sacrées paires, fermes et douces, affolantes et parfaites. Un régal pour mes doigts alpinistes.
    
    Si moi j’en ai plein les mains, les gourmandes ne chôment pas non plus : le franco-canadien a bel et bien été troussé et le mat de beaupré est devenu mât de misaine. Je me prends une petite claque sur les fesses, je comprends et me soulève, les ...
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