1. Nicolas rencontre Jean


    Datte: 09/04/2020, Catégories: hh, hhh, hbi, hplusag, hagé, jeunes, profélève, Oral hsodo, jeu, init, Auteur: Hamon, Source: Revebebe

    ... a pas que sur moi que tu as de l’effet ; regarde comme il bande !
    
    Nicolas, déjà dans un état second sous l’effet de l’alcool et surtout des caresses de Jean, se releva légèrement sur les coudes pour regarder. La vision du corps de Jean sembla redoubler son excitation ; leurs regards se croisèrent.
    
    — Quel regard de petit salope, dit Jean qui continuait de le branler ; tu vois comme il me mate.
    — Tu sais, tu peux le toucher, lui dis-je doucement à l’oreille ; tu as envie ?
    — Oui, répondit Nicolas dans un souffle, j’ai envie…
    
    À ces mots, il se leva davantage et ses mains s’avancèrent vers le torse du sexagénaire ; mais je l’arrêtai par les épaules et lui dis :
    
    — Tout d’abord, tu dois nous dire pourquoi tu as envie de lui.
    — J’ai envie de toucher votre poitrine parce que… parce qu’elle est poilue. Depuis tout à l’heure, je la regarde : elle paraît puissante, elle me trouble… C’est comme un tabou… Tu es un mâle puissant !
    
    Je poussai alors Nicolas vers Jean, toujours à genoux sur le sol. Le jeune homme se glissa contre lui sur le tapis, à califourchon sur ses cuisses ; ses mains fébriles, tremblantes, caressaient le torse de mon vieil amant, puis ce furent ses lèvres, son visage qui se frottaient de façon désordonnée contre la poitrine et le ventre, sa bouche qui caressait la toison poivre et sel du vieux mâle, sa langue qui léchait et suçait ses tétons. Je savais que c’était une caresse que Jean appréciait particulièrement et je voyais, sous l’effet de la langue ...
    ... de Nicolas, ses tétons doubler de volume, comme deux petites bites. Jean se laissait faire. Il était à genoux, cambré, la tête en arrière, respirant lourdement sous les caresses de notre jeune amant. À mesure de ses pérégrinations buccales sur le torse et le ventre de Jean, Nicolas était à présent presque allongé sur le côté, le bras gauche supportant le poids de son corps. Sa main droite s’était emparée de la bite épaisse ; il la masturbait. Ses lèvres lui butinaient le ventre. Sous l’effet de cette nouvelle caresse, la respiration de Jean s’accéléra. De plus en plus excité, la tête en feu, je me penchai en avant pour admirer le spectacle.
    
    — Regarde comme il bande, dis-je à Nicolas. Tu as déjà vu une bite circoncise ?
    — Non, c’est la première fois, répondit-il en regardant le membre viril palpiter sous ses doigts.
    — Vas-y, suce-le : ce vieux vicieux n’attend que ça ! Tu veux qu’il te suce ?
    — Oh, oui, souffla Jean. Vas-y, petite salope, suce-moi, suce ma bite de vieux pédé !
    
    Nicolas pressa alors ses lèvres contre le gland turgescent ; il commença à le lécher de manière un peu mutine, taquinant le plaisir de Jean.
    
    — Ahhh, petit salaud… soupira Jean.
    
    Puis il prit la tête de l’étudiant de ses deux mains et le força à engloutir son sexe.
    
    Pour moi, la tension était devenue trop forte ; voir mes deux amants se caresser, et maintenant, voir Nicolas sucer la bite de Jean me faisait bander terriblement. Tout en les regardant, j’entrepris de me déshabiller. Une fois ...
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