1. Nicolas rencontre Jean


    Datte: 09/04/2020, Catégories: hh, hhh, hbi, hplusag, hagé, jeunes, profélève, Oral hsodo, jeu, init, Auteur: Hamon, Source: Revebebe

    ... accéléra le rythme. Sans plus un mot, il déboutonna mon pantalon, qu’il enleva avec précipitation en même temps que mon slip, puis il se mit à genoux devant moi. Je fus surpris par la fureur de sa caresse, sa brutalité silencieuse. Il commença à me sucer sans ménagement, il me décalotta le gland, le lécha, le prit en bouche. En même temps, il me caressait les testicules, les faisait rouler sous la paume de sa main. La caresse était douloureuse ; elle était aussi excitante. Jean avait complètement pris le contrôle de ma bite, de mes couilles, de mon plaisir. Je sentais dans mon ventre des vagues de plaisir de plus en plus puissantes qui semblaient remonter vers mon gland, enflé, rouge, qui entrait et sortait de la bouche de Jean… C’était mouillé, c’était délicieux ; je regardais sa langue tournoyer, sa bouche aller et venir… Je m’entendais respirer… Je sentais comme un bouillonnement voluptueux, chaud, et puis brûlant sortant de mes couilles que Jean pressait comme on presse les seins d’une femme ; c’était douloureux… Le plaisir remontait ma hampe… vers mon gland… et j’ai éclaté : des cris rauques, de longues giclées de sperme dans la bouche de Jean qui ne lâchait pas mon sexe, continuait d’aspirer le sperme jusqu’au dernier de mes spasmes, jusqu’à ce que ses caresses deviennent trop douloureuses et que je le force, dans un râle épuisé, à se détacher de ma bite endolorie.
    
    — Tu vois ce qui arrive quand on taquine un vieux cochon ! me dit-il en souriant.
    
    En sortant dans ...
    ... la rue, mes jambes flageolaient encore, mon sexe tout douloureux, recroquevillé comme un animal blessé, et je pensais au moyen de convaincre Nicolas.
    
    Ce ne fut pas trop difficile. À notre rencontre suivante, je lui parlai en termes vagues et théoriques d’inclure un partenaire dans nos jeux, que j’avais un ami qui serait un possible candidat. Nicolas était intrigué ; il me posa plusieurs questions sur Jean. Il était aussi un peu réticent : il avait peur de perdre complètement le contrôle. Je lui dis que de tout façon je serais là avec lui, et que le plaisir serait multiplié, que ce serait comme faire l’amour avec moi et un double de moi-même. L’âge de Jean le troublait : soixante-trois ans ; il n’aurait jamais imaginé baiser avec un homme de cet âge. Enfin, il me dit qu’il allait réfléchir. Le soir même, il m’envoya un SMS avec un simple « OK avec Jean ».
    
    Nous fixâmes un rendez-vous pour le mercredi suivant.
    
    Ce jour-là, Nicolas passa me prendre chez moi un peu avant 13 heures. Je le sentais tendu, un peu comme le jour où nous avions été amants pour la première fois. Pour moi, cette situation était aussi comme un nouveau commencement, une nouvelle perspective sur mes deux amants. Après une marche silencieuse, nous arrivâmes à la porte de l’appartement de Jean, situé dans le sixième arrondissement, au premier étage d’un bel immeuble bourgeois. Avant de sonner, je me tournai vers Nicolas et lui dis :
    
    — Ne t’inquiète pas ; laisse-moi faire : tu verras, Jean est un bon ...
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