1. SNCF


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, hplusag, frousses, rousseurs, inconnu, voyage, train, volupté, lettre, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... poitrine.
    — Non, coup de crampons. Quinze ans de rugby laissent parfois quelques traces.
    
    Votre doigt s’est promené longuement dans la broussaille, vous vous êtes amusée à titiller la ligne blanche et à compter les traces des points de suture.
    
    — Douze ! votre adversaire n’y est pas allé de main morte !
    — Il s’agissait plutôt d’un pied, et Anglais de surcroît.
    — Perfide Albion ! c’est bien comme ça que l’on dit ?
    
    Nous avons ri de concert. Vos investigations vous avaient rapprochée de moi, je n’ai pu résister à l’envie de revérifier la douceur et la souplesse de vos seins. Mes caresses ont dû vous être agréables, votre souffle court et vos tétons tendus m’ont incité à poursuivre mon exploration.
    
    Atteindre la ceinture de votre courte jupe portefeuille me fut aisé, la dégrafer ne posa point de problème. Votre ventre plat de jeune sportive (vous êtes bonne nageuse m’avez vous dit par la suite), m’apparut dans toute sa splendeur. La chute de votre robe que vous avez précipitée en vous levant précéda de peu celle du dernier rempart vous protégeant encore un peu de mes regards émerveillés. Au bas de votre ventre, là où se rejoignent vos deux cuisses fuselées et nerveuses, je découvris un vrai trésor. Entièrement lisse, mis en valeur par un mince pinceau de toison rousse faisant comme un signal, votre abricot doré, haut fendu, laissant échapper les draperies roses des nymphettes était juste devant mes yeux. Votre jupette et votre ...
    ... string de dentelle allèrent rejoindre votre chemisier.
    
    Je n’ai pu me retenir d’y poser mes lèvres. Cet hommage eu l’heur de vous plaire, votre bassin bascula, m’offrant plus encore ce fruit juteux. Très vite vous avez fuit ce contact, m’obligeant à me lever. J’ai retrouvé la ferme douceur de vos seins sur ma poitrine. Vos lèvres ont trouvé les miennes, votre langue m’a invité à un baiser plus profond encore. Votre jeune corps collé contre le mien, vous en avez frotté chaque parcelle contre le mien. En un rien de temps j’étais en vous et nous prenions ensemble un des chemins qui mène au 7ème ciel. Nous avons pris notre temps et nous y sommes arrivés presque ensemble. Puis nous nous sommes assis sur la banquette, vous sur mes genoux, votre tête sur mon épaule, et là je crois que nous nous sommes endormis.
    
    — Contrôle des billets, s’il vous plaît Monsieur, puis-je voir votre titre de transport ?
    
    La voix mélodieuse qui lance cette question est accompagnée du bruit de la pince frappant le métal de la porte du compartiment.
    
    — Oui, bien sûr, il est dans mon sac.
    
    Lorsque je me lève la contrôleuse ne peut pas ne pas voir. Je bande comme un âne et mon pantalon ne saurait cacher cet état.
    
    — Merci Monsieur, désolé de vous avoir réveillé, retrouvez bien votre rêve, me dit elle avec un sourire bienveillant.
    
    Et elle est passée au compartiment suivant, je n’ai pas pu me rendormir. Où est passée mon irlandaise ?? Que le trajet a été long !! 
«123»