Les ressources humaines - Histoires de Sexe

Les ressources humaines

... par ce spectacle.

Jean fut le plus prompt à le remarquer et il suggéra à Marc de venir me rejoindre. Celui-ci alla chercher un autre joujou qu’il avait acquis pour moi : des pinces pour tétons reliées par une chaînette métallique. Nous n’en avions discuté qu’une fois brièvement mais mon amant avait bonne mémoire et voulait que je passe une bonne soirée en sa compagnie.

Chacun de mes partenaires se saisit d’un de mes tétons qu’il fit rouler entre ses doigts habiles. Ils les sucèrent, les mordillèrent, flattant mes seins de leurs multiples caresses. Quand mes ergots furent bien raides, ils placèrent les pinces délicatement. Je m’attendais à ressentir une légère douleur due au pincement mais à la place, c’est du plaisir qui m’envahissait, tellement j’étais excitée.

Pour remercier mes amants, je réclamai leur queue, chacun son tour, dans ma bouche. Ils apprécièrent mon talent, leur sexe se raidissant vite sous mes coups de langue et les va-et-vient de mes mains alertes. Je gobais leur gland, accueillais leur queue jusqu’à la garde et titillais leurs couilles bien pleines du sperme.

Quand ils furent bien raides, Jean fut le plus prompt à recouvrir son dard d’un préservatif. C’est lui qui me prit le premier. Il cala mes chevilles à ses épaules et me fit littéralement défaillir sous ses coups de boutoir. J’étais faite pour sa queue, me semblait-il. Il jouait avec moi, écartant puis rassemblant mes cuisses pour varier les sensations. Ce fût ensuite au tour de Marc de me ...

... faire goûter à sa queue. Il me prit en levrette et me chevaucha longtemps avant d’appeler Jean pour la suite.

Mon internaute avait prévu de m’offrir un autre cadeau : une double pénétration. Marc me doigta longuement l’anus, aidé de ma mouille et de lubrifiant, afin de me préparer en douceur. Un doigt, puis deux et enfin trois fouillèrent mon cul vierge. Lorsqu’il estima que j’étais fin prête, Jean s’installa sous moi, et pénétra ma chatte pleine de désir.

Toujours en levrette, Marc fit entrer centimètre par centimètre son dard gorgé de plaisir dans mon anus dilaté qui n’attendait que ça. Progressivement, une douce sensation de chaleur m’emplit. Lorsqu’il fut entré jusqu’à la garde, Marc s’arrêta pour me demander si tout allait bien. J’ai confirmé que oui. C’est alors que Marc commença ses va-et-vient dans mon cul, caressant par la même occasion, à travers la finesse de la paroi, la queue de son amant qui déjà emplissait ma chatte.

Mes deux amants allaient et venaient en moi, j’étais prise violemment par les deux trous et j’éprouvais des sensations inconnues jusqu’alors. Je fondais sous leurs coups de boutoir. Ils défonçaient ma chatte, mon cul, qui en réclamaient encore, jusqu’à plus soif.

Je sentis à leurs râles que mes partenaires étaient près de jouir ; moi aussi. Leurs coups se firent plus hardis, plus rapides, j’étais devenue l’objet de leur plaisir. Dans un même râle, mes deux amants jouirent en moi. Je sentis à travers les préservatifs les giclées de sperme ...