1. Les ressources humaines


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, fhh, hotel, Oral Partouze / Groupe jouet, piquepince, Auteur: Geisha, Source: Revebebe

    Marc est consultant en ressources humaines. Il travaille pour une société belge basée à Bruxelles et est souvent en déplacement à Paris. Nous avons fait connaissance par le biais de Rêvebébé. Marc avait lu et apprécié un récit que j’y avais posté ; nous sommes restés en contact depuis et avons décidé de nous rencontrer afin de réaliser quelques-uns de nos fantasmes.
    
    En discuter, c’est bien, mais passer de la suggestion à l’action, c’est mieux. C’est ainsi que nous avons profité d’un passage commun à Paris pour faire plus ample connaissance.
    
    Un café bondé par un après-midi d’automne pluvieux. Marc avait choisi une table avec banquette tout au fond du café, quelque peu à l’écart, qui nous donnait une vue d’ensemble sur les autres clients. Très vite, Marc a su orienter la conversation et mon string fut trempé. Il a vérifié l’effet qu’il me faisait en passant deux doigts sur ma fente à travers la dentelle noire et a semblé satisfait.
    
    Mon internaute m’avait apporté une surprise que je devais m’empresser d’essayer. Je me suis rendue aux toilettes et j’ai ouvert le paquet enveloppé délicatement de papier de soie rouge : c’était un œuf vibrant mais je n’ai pas trouvé la télécommande. J’ai inséré sans difficulté mon nouveau joujou au plus profond de mon intimité et j’ai rejoint Marc qui m’attendait déjà à l’extérieur du café, une main dans la poche de sa veste.
    
    Je soupçonnais qu’il tenait la télécommande, et…
    
    ZZZZ une vibration sourde d’abord puis intense m’a ramenée à ...
    ... la réalité.
    
    J’étais comme clouée sur place, gênée, de peur que les sensations déclenchées par cet objet dans mon vagin se remarquent auprès des passants de Saint-Germain… Marc m’a « torturée » pendant une balade d’une heure dans les rues de la capitale, jouant avec sa télécommande et me faisant jouir à distance, à l’envi.
    
    Je ne tenais pas en place, mon désir pour lui grandissait ; plusieurs fois je le suppliai de mettre fin à mon supplice et de me permettre de retirer l’œuf. Il ne l’a pas voulu mais il a cessé de manipuler la télécommande, bien plus tard, lorsque nous sommes arrivés à l’hôtel où il avait réservé une chambre pour nos ébats.
    
    L’hôtel était cosy, des poutres de bois et de lourdes tentures dans des tons chauds accentuaient l’impression de bien-être que j’avais eue en me réchauffant dans la chambre. Marc avait fait monter du champagne, dont il m’offrit une coupe. Je l’acceptai avec plaisir.
    
    Puis il m’a demandé de me lever, m’a ôté mes vêtements un à un jusqu’à ce que je me retrouve uniquement vêtue de mon string détrempé. Il m’a allongée sur le lit et a embrassé chaque parcelle de mon corps ainsi offert à ses caresses.
    
    Je me laissais faire, frissonnante sous ses baisers et ses coups de langue incisifs.
    
    Il joua encore de la télécommande pendant qu’il mordillait mes tétons doucement et qu’il titillait ma fleur de l’autre main. Avec un tel traitement, je ne tenais plus. Je ne souhaitais qu’une chose : qu’il me prenne immédiatement.
    
    Ma chatte était ...
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