1. Les ressources humaines


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, fhh, hotel, Oral Partouze / Groupe jouet, piquepince, Auteur: Geisha, Source: Revebebe

    ... en feu, elle réclamait un sexe bien dur pour l’emplir. Marc comprit mes désirs et présenta sa queue raide à l’entrée de ma bouche. Je m’en saisis promptement et lui offris « la meilleure pipe qu’on lui ait jamais faite ».
    
    Puis il retira doucement de mon sexe mon nouveau compagnon pour me pénétrer de son dard que j’avais soigneusement préparé. Sa queue dure et vigoureuse labourait ma chatte qui la réclamait. Marc me prit ensuite en levrette, me tenant d’abord par les hanches puis par les seins. Nos corps ne faisaient plus qu’un et nous allions jouir ensemble.
    
    Épuisés par cette première expérience, nous nous endormîmes un court moment dans les bras l’un de l’autre. Ensuite nous partageâmes une douche très coquine avant d’aller retrouver un ami de Marc pour dîner.
    
    Jean travaillait pour la succursale parisienne de la société de Marc. Ils étaient amenés à se rencontrer régulièrement pour affaires mais pas uniquement. Marc m’avait préparé une robe de taffetas noire rehaussée de dentelles avec un décolleté vertigineux, un string de dentelle noire et des chaussures à talons pour la soirée qui s’annonçait sous les meilleurs auspices.
    
    Jean avait réservé une table discrète dans un restaurant étoilé de la capitale. Rapidement, le courant est passé entre nous et j’ai compris que les deux compères étaient intimes. En fait, ils étaient amants depuis quelques années, et recherchaient des partenaires féminines qui sauraient donner autant que recevoir. Car mes comparses étaient ...
    ... très généreux mais aussi exigeants.
    
    Au moment où l’on servait le dessert, j’ai senti qu’une main ferme s’aventurait le long de ma cuisse. C’était Jean, avec un sourire à la fois lubrique et charmeur, qui me testait à sa façon. Pour lui offrir la réciproque, je lui tâtai les bourses et fis enfler une bosse sous son pantalon. Il prit notre petit jeu avec un sourire qui en disait long.
    
    J’allais « faire l’affaire », c’est-à-dire partager leurs jeux cette nuit. Marc paraissait satisfait de son choix. Il régla la note et nous partîmes pour notre lieu de luxure.
    
    Je n’étais pas au bout de mes surprises. À peine étais-je entrée dans la chambre que Jean me plaqua doucement mais fermement au mur et m’embrassa à pleine bouche. J’étais agréablement surprise de cette initiative. Puis quatre mains se saisirent de mes vêtements et parcoururent mon corps, le couvrant de caresses. Jean me faisait face, Marc était debout derrière moi. Je vibrais sous l’action conjuguée de leurs mains, langues, lèvres. Des frissons me parcouraient ; plusieurs fois je fus sur le point de défaillir, tant leurs caresses étaient intenses.
    
    Marc sentit cela et me déposa sur le lit. Mes amants m’octroyèrent alors une courte pause pendant laquelle ils m’offrirent un charmant spectacle : ils s’excitèrent l’un l’autre, se caressaient, leurs langues s’entrelaçaient avec fougue, révélant l’ancienneté de leur liaison. J’étais à nouveau toute chose et je me suis surprise à me caresser de mon côté, toute émoustillée ...