À la découverte de ma tante
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
oncletante,
piscine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... de foot, et un slip.
Mais si elle n’était pas seule et dans le plus simple appareil, pourquoi je n’entendais rien ? S’étaient-ils endormis, ou alors peut-être étaient-ils sortis de la cabane…
Au risque de me faire surprendre, j’ai contourné le bâtiment pour chercher un autre angle de vue. J’en ai trouvé un grâce à un trou dans la paroi de l’autre côté, qui me permettait de mieux voir encore l’ensemble de la pièce. Et je n’ai pas été déçu, si l’on peut dire car j’eus en même temps un pincement au cœur.
La femme de mes rêves était à genoux et s’appliquait, lentement, langoureusement, à sucer le sexe d’un jeune noir qui devait avoir à peu près mon âge. Sa belle chevelure ondulait superbement à chaque mouvement alors qu’elle engloutissait le plus profondément possible la verge dans sa gorge. Le garçon mince, presque maigre, assis, adossé au mur, regardait ce spectacle avec fascination et il y avait de quoi. Voir coulisser cette superbe bouche de bourgeoise avec son élégant rouge à lèvres qui ravivait la blancheur de sa peau, le long de ce sexe d’ébène aux proportions plus qu’honorables, était un spectacle envoûtant.
Lui, visiblement intimidé, n’osait tout d’abord pas même l’effleurer de ses longs doigts, puis il se risqua à glisser sa main dans sa nuque. C’est à ce moment que mon regard se porta sur ses jolis seins enfin dévoilés. Ma tante visiblement très excitée, avait ses charmants bouts de sein cernés de ravissantes aréoles brunes, plus érectiles encore que ce ...
... que j’avais perçu, lorsqu’elle était à mes côtés à la piscine. Quel ravissement que de voir les doigts fins de cet Africain se hasarder maintenant sur les contours de ses mamelons.
Elle eut un soubresaut lorsqu’il effleura ses tétons. Je crus alors que c’était un geste de recul, mais quand elle reprit sa main d’ébène pour qu’il la pose plus fermement sur sa poitrine laiteuse, je me rendis compte que c’était sous l’effet d’une trop forte excitation.
Je remarquais alors un détail insolite, mais qui allait parfaitement bien avec cette scène d’une bourgeoise dans toute sa maturité s’offrant à un jeune congolais. Ils avaient tous les deux gardé leurs chaussures : lui des tennis un peu usées, et elle de fins mocassins à talons, assortis à sa robe azur, dont la lanière enlaçait superbement ses fines chevilles. Tout cela ajoutait à l’érotisme de ce qu’il fallait bien appeler déjà un accouplement.
Tout en continuant à le pomper, elle se tourna un peu de côté, pour mon bonheur, ce qui me permit d’avoir une vue ravissante sur son sexe. Ses lèvres intimes discrètes et pudiquement lovées dans un ravissant sillon étaient surplombées d’une toison fine et soyeuse, à peine plus sombre que sa chevelure, taillée en un petit triangle. Celui-ci formait comme la pointe d’une flèche, telle une invitation à visiter son antre secret.
Mais bien vite, elle a changé de position. Quand le dard bien tendu est sorti de sa bouche, il était lustré par sa salive qui forma, un bref instant, un mince ...