À la découverte de ma tante
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
oncletante,
piscine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... affronter.
Je trouvais déjà étonnant cet abandon auquel ils s’adonnaient tous deux en s’embrassant le matin et le soir devant moi sur la bouche pendant plusieurs secondes. C’était comme s’ils s’étaient quittés depuis plusieurs jours.
Maintenant, lui n’hésitait pas, sans pudeur, à lui caresser les fesses sans qu’elle cherche de son côté à se défaire le moins du monde de son étreinte. C’en était à un tel point que ce matin-là, je détournai la tête et qu’agacé j’allais quitter la pièce quand elle tourna son joli visage vers moi :
— Excuse-nous, nous avons l’habitude de nous embrasser ainsi à chaque fois que nous nous retrouvons, ça peut paraître un peu étrange après quinze ans de mariage, mais c’est aussi une façon de nous prouver que nous nous aimons comme au premier jour !
Et cela dit, devant mes yeux ébahis, elle reprit son étreinte, se lovant de plus belle contre lui et écrasant ses petits seins contre son torse, alors qu’il lui caressait maintenant les fesses de ces mains épaisses.
Elle n’aurait pas eu besoin d’un tel cinéma, si elle avait su ce que j’avais vu et surtout entendu l’avant-veille !
Lorsqu’elle me quitta, elle ne me gratifia que de ce furtif baiser sur la joue presque glacial.
Il ne se passa rien ce jour-là, pas plus que la veille, et mon inspection de la cabane n’avait rien donné. Fou de rage contre elle autant que contre moi-même, j’ai réussi au moins à améliorer nettement ma performance sportive.
Rien de plus chaleureux le soir au ...
... dîner et pas d’autres effusions non plus avec son mari. Si ce n’est le soir encore après s’être couchés. J’entendais venir de leur chambre comme une longue plainte, et toujours à la fin ce cri de jouissance si aigu, qui maintenant m’obsédait tout autant que la vision de ma tante.
Vendredi 31 juillet
Petit déjeuner en solitaire. Pas de mot cette fois-ci. Que le vide de sa troublante absence.
Je me rendais compte que ma volonté première : vivre un séjour sans histoire pour me ressourcer, en se réalisant, me devenait désormais insupportable. Je ne m’imaginais pas rester plus longtemps, voulant prétexter un appel d’urgence pour retourner chez moi.
C’est dans ces pensées que je me décidai à continuer selon mon ancien parcours, sans passer par le cabanon… jusqu’à ce que je voie, masqué par un buisson à côté de celui-ci, la petite Austin mini qu’utilisait ma tante tous les matins où elle partait seule.
Hésitant tout d’abord, je n’ai pu m’empêcher de m’approcher plus discrètement encore que les fois précédentes. Il y avait un silence total. De mon poste d’observation habituel je ne distinguais rien d’anormal, et puis soudain mon regard a été accroché : sur une fourche, était suspendue avec application la robe d’Anaïs que je reconnus immédiatement parce que c’était celle qu’elle portait le premier jour ! Elle était donc là et probablement nue !
Il ne m’a pas fallu longtemps pour distinguer sur le sol l’amas de vêtements. Il y avait un short blanc, un maillot style club ...