1. À la découverte de ma tante


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, hplusag, fplusag, oncletante, piscine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... filet entre ses lèvres carmin et le gland turgescent. Essoufflée, sa charmante poitrine ondulait délicieusement.
    
    Une fois repris ses esprits, elle lui parla tout doucement :
    
    — N’aie pas peur, je vais te montrer comment faire pour faire plaisir à une femme. Nous allons faire tout doucement tous les deux, comme si c’était la première fois aussi pour moi…
    
    Je ne pus m’empêcher de sourire en pensant à la tante dévergondée que j’étais en train de découvrir, et en me demandant le nombre d’amants qui l’avaient possédée…
    
    Mais même pour moi qui commençait à la connaître, en vierge effarouchée ou du moins en épouse un peu coincé et fidèle, elle restait étonnamment crédible.
    
    Voyant qu’il était maintenant absorbé par la vision de ses jolis seins, elle l’encouragea :
    
    — Tu les aimes ? N’hésite pas… tu peux les embrasser si tu veux.
    
    Il approcha lentement son visage, comme pour vérifier que tout ça était bien réel, puis posa ses lèvres charnues sur le pourtour de son sein. Il se lova alors contre elle, comme un bébé et commença à lui téter avec gourmandise le mamelon qui s’offrait. C’était puissant et tendre à la fois, de la voir ainsi soudain maternante, s’abandonnant doucement à sa jouissance d’être ainsi désirée au sens le plus charnel.
    
    Il aurait voulu la boire, engloutir son petit sein charnu tout entier dans sa bouche. Elle se mit à chuchoter devant tant de voracité…
    
    — Tout doux, tout doux, tu sais, ils sont très sensibles…
    
    Et, comme pour compenser la ...
    ... frustration de devoir retenir son geste, elle commença à lui caresser par en dessous les couilles alors que son sexe était toujours fièrement dressé.
    
    Après, elle émit de petits soupirs aigus qui me rappelèrent ceux de la scène du jardinier. Cet échange de caresses, désormais très tendre et apaisé, dura un certain temps, avant qu’elle ne se dégage de sa bouche. Elle se recula, la tête relevée, appuyée sur ses coudes, le bas du dos et les fesses au contact direct du sol rugueux et de la paille et écarta les jambes devant le visage sidéré du garçon.
    
    — Tu peux aussi m’embrasser entre les jambes, tu sais les femmes aiment beaucoup ça quand c’est fait avec délicatesse.
    
    De la délicatesse, ce garçon fin, bien que maladroit, en avait assurément plus que l’homme à la salopette. Il était maintenant à genoux et approchait sa bouche de la fine toison. Il tira légèrement une langue d’un rose vif qui contrastait avec la noirceur de sa peau, et lécha son buisson comme un chat qui se toilette en lui lapant les poils.
    
    Une fois le petit triangle humecté de sa salive, ce qui avait déjà eu pour effet de faire soupirer plus encore Madame, il approcha ses lèvres de ses lèvres intimes. À nouveau, elle eut un soubresaut, puis s’agrippa à sa tignasse crépue pour accentuer le contact de sa bouche sur son sexe. Puis paradoxalement, elle lui demanda à nouveau d’être tout doux, comme s’il devait boire son suc intime goutte à goutte.
    
    Je pensais à la saveur nouvelle qu’il devait goûter pour la ...
«12...8910...16»