Ma vie d'étudiant
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
fhh,
grp,
hbi,
jeunes,
voisins,
vacances,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
échange,
init,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... sodomiser. Je la prépare en douceur, avec les doigts et la langue. J’essaie de lui communiquer mon désir. Quand elle se donne, alors qu’elle était réticente avant, mon plaisir est complet.
— Et si elle a mal, si tu la fais souffrir ? Ton plaisir est-il encore plus grand ?
— Non, jamais. Je ne veux pas qu’elle souffre. J’aime faire en sorte que son désir devienne si fort qu’elle en oublie la douleur.
— C’est ton orgueil de macho qui transparaît là, mais ce n’est pas pour me déplaire. Enfin, c’est tout de même assez dégueulasse. Une queue a-t-elle vraiment sa place dans un cul ? Médicalement parlant, excuse-moi, c’est ma déformation professionnelle, on ne peut pas dire que c’est très hygiénique. Enfin, ce n’est pas si terrible que je le redoutais. Mais je t’en prie, ne dis à personne que tu m’as enculée, j’aurais trop honte.
— Je serai une tombe, je te le promets.
— Mais toi, que ressens-tu lorsque tu sodomises une femme ?
— Ma queue est plus étroitement enserrée dans l’anus que dans le vagin. C’est très agréable. Ça, c’est le côté physique de l’acte. Au niveau de l’intellect, je dirais que c’est la possibilité de briser les dogmes d’une société encore trop prude. C’est un acte contre nature, pas de procréation, le symbole absolu de la luxure. J’adore la sodomie par le goût de l’interdit qui s’y attache encore aujourd’hui.
— Moi qui pensais que c’était surtout une pratique de pédé…
— Pas seulement, dis-je, craignant d’être découvert.
J’avais compris que dans le ...
... groupe, il valait mieux que je taise mes penchants homosexuels, surtout à la suite de cette discussion :
— Pour cent millions d’euros, disait l’un des garçons, je n’accepterais pas de sucer un homme, ni qu’il me suce.
— Il faut partir sur des bases plus réalistes, répliquai-je ; cent millions, ça n’a aucun sens. Il faut prendre des montants qui représentent quelque chose, qui ont une réalité pour tout le monde. Disons, dix mille euros… C’est déjà beaucoup. Pour dix mille euros, tu refuserais de sucer la queue d’un homme ?
— Ah oui ! Il n’en est pas question. En plus, c’est dégueulasse.
— Bah ! On le fait bien nous, dit une fille.
— Ce n’est pas pareil.
— Et tu n’accepterais pas d’être sucé par un mec, repris-je, toujours pour dix mille euros ?
— Certainement pas.
— Mais quand je te suce, mon amour, lui dit sa copine, tu ne détestes pas pourtant.
— Oui, mais une bouche de femme sur ma bite, c’est cool.
— Y a des trucs, vous les mecs, qui vous font bander rien que d’y penser. Par exemple, t’aimerais tant me voir brouter le minou d’une autre fille…
— Je dois dire, dit le garçon, que c’est magnifique, deux gouines en pleine action.
— Ah les mecs, tous les mêmes ! Vous ne pouvez pas sentir les pédés, vous ne voulez pas en faire partie. Mais si une fille est gouine, ça vous plaît.
— C’est tout de même très excitant, deux nanas qui se donnent du plaisir.
— Alors des filles homos, OK ; mais les mecs, pas question. Pourtant c’est exactement la même chose.
— Non, non, pas ...