1. Ma vie d'étudiant


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, grp, hbi, jeunes, voisins, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, init, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... journée s’achevant, il fallait remettre un vêtement pour rentrer au camping textile dans lequel ils avaient, eux aussi, planté leur tente.
    
    Je passerai sur les détails de ce séjour en disant seulement que Béatrice, l’une des filles du groupe, devint rapidement ma maîtresse. C’est elle qui, une nuit, est venue me rejoindre sous ma tente. Il était très agréable de faire l’amour avec elle. C’était très différent des étreintes que j’avais partagées avec Alice ou Léa. Elle avait comme de l’innocence lorsqu’on faisait l’amour, bien qu’elle se montrât parfois très entreprenante. Elle aimait jouir entre mes bras en retenant ses gémissements pour ne pas ameuter tout le camping.
    
    Un jour où elle me faisait une fellation, elle avala mon sperme. Puis ayant recraché une partie et avalé vaillamment l’autre, elle me dit :
    
    — C’est la première fois que j’accepte d’avaler du sperme. Mon copain, cette année, voulait que je le suce et que j’avale. Je suçais, mais ensuite je me retirais juste avant qu’il jute. Comme je vais faire médecine, je m’attends à devoir passer par des moments délicats. C’est ce que je redoute le plus : devoir baiser avec un mec pour qui je n’ai aucun sentiment.
    — Tu en as donc pour moi ? Et ton copain, tu en as pour lui ?
    — Laisse mon copain où il est. Le connaissant, il m’oublie où il est, tout comme je l’oublie ici avec toi. Non, en fait, ce que je redoute, ce n’est pas tant le mec, mais ce que je devrai faire avec lui.
    — Qu’est-ce que tu redoutes, par ...
    ... exemple ?
    — Qu’on me demande de… enfin, de me sodomiser.
    — Qu’on te prenne par ton petit cul étroit ?
    — Oui, c’est cela. Je redoute ce moment.
    
    Nous n’en avons pas reparlé. Jusqu’à cette nuit où, sans la prévenir, dans le feu de l’action j’ai présenté mon gland devant le puits secret. J’avais lubrifié l’entrée à son insu avec de la crème solaire (seule graisse dont je disposais). Ne percevant aucune interdiction de sa part, je pressai l’entrée. Là encore, il n’y eut aucune réaction. Ce n’est qu’en introduisant ma colonne de chair que je l’entendis geindre et même pousser un petit cri de frayeur, sinon de douleur. Une fois dans la grotte secrète, j’ai attendu que ses muscles se détendent avant de me mouvoir. Pour la faire jouir, je massai le clitoris, puis j’introduisis un doigt dans son vagin pour venir titiller son point G. Par bonheur, j’avais réussi à localiser précisément son point de jouissance lors de nos ébats. Deux ou trois pressions où il fallait suffirent. Elle ressentit une jouissance qui la traversa des pieds à la tête. Je l’accompagnai en lâchant mon sperme.
    
    — Salaud ! Tu m’as prise par derrière, me reprocha-t-elle une fois le calme revenu, sans me demander mon avis.
    
    Il n’y avait aucune colère dans sa voix, comme si elle me reprochait quelque chose qui ne la concernait pas directement ou sans grande importance, du genre « avant de finir le plat, tu aurais pu me demander si j’en voulais encore ».
    
    — Je ne demande jamais à une fille l’autorisation de la ...
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