1. Ma vie d'étudiant


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, grp, hbi, jeunes, voisins, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, init, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... du tout. Ce n’est pas pareil.
    
    Pour ma part, j’exècre le continuel « ce n’est pas pareil » qui permet de couper court à la discussion sans avoir à argumenter sa réponse.
    
    — Et que diriez-vous, dit une des filles, si l’une d’entre nous vous quittait pour une autre fille ?
    — Ne dis pas de connerie : sans notre queue, vous ne pourriez pas faire grand-chose.
    — Détrompe-toi ; j’ai une copine québécoise qui est purement homo, et avec sa compagne elle se passe très bien d’homme. Il y a des toys et des godes qui sont très efficaces et si bien faits qu’on pourrait s’y méprendre… et eux au moins, ils sont toujours prêts au service, jamais de panne.
    
    Je me suis dit que dans ce groupe de jeunes, les filles étaient bien plus ouvertes d’esprit et finaudes que leurs mecs, bourrés de préjugés.
    
    Je quittai Béatrice sans cris ni gémissements. Nous nous sommes aimés, nous avons fait l’amour, nous nous sommes donné du plaisir. Point final. C’était une aventure charnelle sans lendemain ; depuis le début, nous le savions et l’acceptions.
    
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    À la rentrée, Alice et Léa prirent une colocation leur permettant de vivre en commun leurs amours lesbiennes au quotidien. Ainsi, j’ai pu facilement couper mes relations avec les deux filles. De même mes liens avec Éric se distendirent et même disparurent alors qu’il restait en relation avec nos maîtresses.
    
    Le logement voisin du mien, laissé vacant par ce déménagement, fut occupé par une femme d’une cinquantaine ...
    ... d’années. Elle ne m’attirait pas du tout, jusqu’au jour où, coincée sur le palier de sa porte et attendant le serrurier, je l’invitai à venir chez moi. Je lui offris à boire. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien. C’est la première fois que je la regardais vraiment. Je me fis la réflexion qu’elle n’était pas vraiment belle, mais elle était charmante.
    
    Je finis par lui dire que j’étais étudiant et que je finançais mes études en étant modèle vivant pour des cours de dessin.
    
    — Vous voulez dire que vous posez nu ?
    — Oui, c’est cela. Je vous choque ?
    — Non, non, pas du tout. Moi-même, jeune, j’ai posé pour des copains artistes. Enfin, je devrais dire pour mon copain de l’époque. J’aurais été bien trop pudique pour pouvoir poser pour d’autres que lui. Sauf que ce n’était pas rémunéré.
    
    Je lui montrai des reproductions de certaines toiles d’Alice pour lesquelles j’avais servi de modèle.
    
    — Je vois que vous avez posé dans des positions… suggestives.
    — Oui, c’était pour une amie qui vivait dans l’appartement que vous occupez à présent.
    
    Pendant un instant, j’ai eu l’idée que cette femme, malgré la différence d’âge, pourrait devenir ma maîtresse. À ce moment on sonna à la porte et je perdis le cours de mes pensées libidineuses. C’était le serrurier. Ma voisine m’a remercié et est partie rejoindre son appartement.
    
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    Un jour, je me retrouve face à elle. Elle est topless, une poitrine assez forte, avec deux seins qui ont tendance à ...
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