1. Ma vie d'étudiant


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, grp, hbi, jeunes, voisins, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, init, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... poil.
    
    Lorsque je compris que son objectif était de partir là-bas pour baiser, qu’il ne s’agissait que d’un plan cul, je déclinai l’invitation. Pour faire l’amour à une femme ou un homme, il faut que je sois attiré par eux, que je succombe à leur charme.
    
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    Afin couper les ponts, je profitai des vacances. Je partis seul en choisissant un séjour peu onéreux : le camping. Comme je voulais pouvoir faire du naturisme, je réservai dans un camp textile, mais qui se trouvait à proximité d’une plage nudiste libre. Mon budget serré d’étudiant ne me permettait pas de payer un séjour dans un centre naturiste.
    
    Arrivant sur le bord de la mer, je me suis déshabillé à quelque distance d’un groupe de jeunes gens, filles et garçons. Nous n’avons pas été longs à échanger quelques mots et ils m’accueillirent parmi eux. Il était agréable d’être sur cette plage à vivre nu tout au long de la journée, sans que ni les uns, ni les autres, nous n’éprouvions de la gêne ou de la pudeur. Encore plus à l’aise que si nous avions été habillés, puisque nous étions en osmose avec la Nature.
    
    Nous nous dorions au soleil, nous lisions des magazines ou des livres, nous discutions pour refaire le monde. Nous aimions jouer aux cartes. Parfois le joli petit cul doré d’une des filles servait de table de jeux. Celui ou celle qui perdait la partie était soumis à certains gages. Par exemple, traverser la route de la plage rejoignant le camping totalement nu, repartir de la plage ...
    ... sans aucun sous-vêtement sous des tenues fines, courtes et transparentes… Les gages étaient ludiques, jamais très méchants et surtout pas humiliants.
    
    Physiquement, nous pratiquions des jeux de balles et de ballons où les mouvements exaltaient les courbes des corps féminins et mettaient en valeur la beauté athlétique et virile des garçons. J’admirais autant les uns que les autres. Les gars comme moi-même avions par moments des excitations non contenues. Les filles ne s’en formalisaient pas, et souvent reluquaient avec ostentation nos queues se dressant. Ce que mes amis ignoraient, c’est qu’en ce qui me concernait, cette excitation pouvait être aussi bien provoquée par les filles que par les garçons. Je pouvais admirer de très près de beaux nichons, des chattes plus ou moins entretenues et des phallus vigoureux. Qu’on puisse voir mon corps nu n’était pas pour me déplaire non plus, d’autant plus que pour une fois, je n’avais pas à « tenir la pose ».
    
    Les baignades dans les rouleaux de la mer étaient l’occasion de chahuts entre nous ; ceux-ci ne pouvaient avoir lieu sans attouchements plus ou moins volontaires que nous acceptions tous avec bonne humeur : un sein pressé ici, une fesse caressée là, une main s’égarant sous la ceinture… D’ailleurs les filles n’étaient pas les dernières à avoir les mains baladeuses, tant entre elles qu’avec les garçons. Par contre, les gars ne semblaient pas disposés à accepter des attouchements trop poussés venant de personne de leur sexe.
    
    La ...
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