53.5 Fresque estivale toulousaine.
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... endroits plus propices que d'autre pour l'observation du « petit con ».
Les bords de mer ou d’océan aux mois de juillet et d’août, l'après-midi notamment, car souvent le « petit con » se couche tard lorsqu’il est en vacances avec ses potes ; les fêtes de village, en particulier autour de la buvette ; les abord des terrains de sport, foot ou rugby ; en ville, il convient de chercher le « petit con », suivant le moment de la journée, à proximité des cafés et des bistrots du centre-ville, des quais de la Garonne ; ou bien, dans les rues marchandes.
Endroits bénis, lieux à très haute densité de bogoss, sans doute l’endroit d’une ville où la concentration au mètre carré est la plus forte… des endroits dangereux du coup, où il m’est arrivé plus d’une fois de contre un obstacle sur le trottoir : un passant, un vélo, un abribus, un poteau ; mes yeux étant sans cesse happés par un bogoss plus sexy que le précédent.
L’exercice et d’autant plus périlleux en pleine période de vacances et de soldes.
En cette belle journée ensoleillée d’été, la rue d’Alsace-Lorraine grouille de ces « p’tits cons » arpentant les boutiques en quête du beau t-shirt grâce qui leur permettra de faire les kékés en soirée.
Et puis, je l’ai vu, lui. 20 ans, pas plus, style 1.75, châtain clair, limite blond, un brushing à la fois en brosse mais un peu anarchique, pourtant étudié, calculé ; une petite gueule d’ange blond, choupinou en diable, assez bien foutu sans être excessivement charpenté, ...
... plutôt sexy ; bien habillé, chemisette à p’tits carreaux très fins, rouges et blancs, deux boutons ouverts, le col rond d'un t-shirt blanc qui dépasse ; un short en jeans moulant à la perfection un petit cul juste sublime. Bref, bouleversant exemple de « petit con ».
Je suis scotché par l’apparition de ce petit mec. C’est pile le genre qui me donne instantanément des papillons et une boule au ventre, qui provoque cette envie furieuse de tout connaître de lui, déclenchant cette avalanche des mille questions sur cette vie inconnue que je me pose à chaque fois devant un beau garçon.
Voilà, preuve est faite que le petit con se pointe par surprise. On se balade tranquille, laissant flâner le regard sans intention… et puis il apparaît… et PAF ! Son entrée en scène est fracassante, elle éblouit comme un éclair, ça fait mal aux yeux, ça brûle presque la rétine.
L’« ange blond » traverse la rue quelques mètres devant moi et rentre dans une boutique de fringues.
Sans chercher à comprendre, comme poussé par une force qui me dépasse, je rentre dans la même boutique. Je lui emboîte le pas parce c’est un « petit con » et qu’il rentre dans une boutique de vêtements pour « p’tits cons ». Tentons l’expérience.
Oui, il existe de nos jours des boutiques de fringues pour « petit con ».
On reconnaît souvent ce genre d’endroit à la tête des vendeurs : en l’occurrence, un magnifique « petit con » brun, très mat de peau, tout juste la vingtaine, un sourire à mettre daredare le feu à la ...