53.5 Fresque estivale toulousaine.
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... en face de la « sienne » est également libre… je me dis que, avec un peu de chance, sait-on jamais, au gré des mouvements du rideau, je pourrais peut-être voir apparaître un bout de son torse dénudé.
J’avance rapidement vers la cabine du fond ; j’avance jusqu’à ce qu’une image furtive, mais d’une intensité redoutable, capte mon attention et m’oblige à stopper net ma progression. C’est le genre de vision à me rendre dingue, à me tétaniser sur le champ.
Le rideau de l’une des cabines est légèrement entrebâillé… pas plus que quelques centimètres… assez, pourtant, pour laisser entrevoir l’image de bonheur intense réfléchie par le miroir installé sur la paroi.
Un torse dénudé. Un joli torse imberbe, pas trop musclé mais finement dessiné, juste parfait pour donner des frissons inouïs.
Le mec est en train d’essayer un short en jeans ; ses mains le remontent le long des hanches, ses doigts le boutonnent de façon à que l’élastique de son boxer dépasse généreusement… geste et attitude de « petit con », quoi…
Et au-dessus de cet élastique blanc, remontant de l’Eden caché de sa jeune virilité, un magnifique chemin de petits poils, si clairs, si beaux, si doux, si sexy, des petits poils conduisant mon regard hypnotisé vers ce petit nombril qui me donne le vertige, des petits poils disparaissant avant la naissance de ses pecs.
Comment ne pas ressentir une envie brûlante, violente, déchirante de lécher cette peau jeune, tiède, ces poils qu'on devine d'une douceur ...
... divine, comment ne pas avoir envie d'humer ce nombril, remonter vers ses tétons, faire des bisous partout, exciter, caresser avec la langue, titiller, mordiller ; et revenir vers l’élastique, le soulever un peu avec les doigts, passer la langue entre la peau et l’élastique, approcher le nez, à l’affût de le moindre petite odeur de mec qui pourrait remonter de sa queue tapie sous le coton blanc.
Vision sublime, durée le temps d’un éclair ; très vite, je sens la présence d’un autre client derrière moi, je me rends compte que je gène le passage.
J’avance alors vers la cabine du fond ; juste à temps pour voir le « bel étalon » faire glisser son t-shirt blanc le long de ses bras tendus vers le haut et dépassant par-dessus le rideau. Envie d’humer ce coton pour sentir l’odeur de sa peau, de son déo…
Me voilà seul dans ce petit espace, avec des fringues que je n’ai pas l’intention d’essayer… me voilà à l’abri des regards, seul avec la tête bouillonnante d’images qui me bouleversent…
L’image du joli nombril si finement poilu me hante… je m’imagine le regarder en train de se branler, jusqu’à ce que ses traits chauds atterrissent en vrac sur ce torse parfait ; les derniers jets, un peu moins vigoureux que les premiers, se posent justement sur ce fin pelage autour du nombril... envie de connaître le bonheur indescriptible de passer la langue, de lécher la moindre goutte de son nectar de mec, nettoyer ce petits poils, si doux, si bons... rien que d’y penser, j'ai l'impression de ...