53.5 Fresque estivale toulousaine.
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... ce bogoss à la sexytude insensée et renversante.
Je le regarde de dos, au rayon bermuda, les cheveux courts et bruns, un grain de beauté derrière le cou qui appelle avec insistance à être couvert de bisous.
Je regarde ce t-shirt blanc parfaitement ajusté à sa plastique de fou... le blanc, éclatant, immaculé, soulignant la perfection d'une peau bronzée, d’une sexytude impossible ; la coupe, parfaite, soulignant la courbe magnifique des pecs bombés, la chute délirante de ses épaules, le creux de son dos, ses biceps massifs, une image du divin.
Il y a des t-shirt blancs qui font plus habillé ; et il y en a, comme celui-là, fait dans un coton un peu « brut », qui font vraiment "sous-vêtement"... je le regarde et j’ai comme l'impression de voir le mec en boxer et t-shirt, juste avant de passer à la douche, ou en sortant de la douche, avant de s'habiller... ou bien avant d’aller au lit... je l'imagine traversant l'appart en boxer et t-shirt blanc, se dirigeant vers la chambre ou il rejoindra sa nana ou, pourquoi pas, un autre mec ; la personne qui a la chance de se le taper ; celle qui, après l'avoir bien excité en passant ses doigts et sa langue par-dessus et par-dessous les cotons doux, lui ôtera ce boxer et ce t-shirt pour lui offrir le plaisir qu’on se doit d’apporter à un étalon de ce genre.
Je me surprends à imaginer le bonheur de se sentir possédé par ce mâle puissant, d’assouvir toutes ses envies... un mec pareil, c’est un appel au sexe… ce mec pue le sexe… on ...
... le regarde et on sent la testostérone, les coups de reins impitoyables… les bonnes giclées qui remplissent la bouche, qui brûlent la gorge, qui remplissent partout où il aura envie de lâcher son jus, le nectar divin.
Si à l’époque mon regard était particulièrement attiré par cette espèce bien particulière qu’est le « petit con » de 20 ans, et dont mon Jérém était LA parfaite illustration, ce n’est pas pour autant que j’étais insensible à d’autres charmes.
Déjà à l’époque j’étais sensible au charme de mecs un peu plus âgés, un charme étayé par une maturité qui s'installe naturellement, au fil des tours et des détours de la vie.
A l’approche ou au franchissement de la trentaine, le « petit con », insouciant et un brin frimeur connaît souvent une métamorphose qui va le muer en un mec dégagent une véritable assurance, une virilité plus discrète mais solide ; et, surtout, réellement affirmée. Et la sexytude à la fois brûlante et insolente, touchante et impertinente laisse souvent la place à un autre type de charme, un charme plus… mûr. Et d’autant plus redoutable.
Le « bel étalon » habillé de ce t-shirt blanc frôlant la perfection du genre, finit par attraper un t-shirt noir et un jeans, et disparaît dans le couloir des cabines d’essayage.
Sans trop savoir pourquoi, j’en fais de même : j’attrape des t-shirts, pour le « « « suivre » » ». Je lui emboîte le pas et je le vois disparaître dans la cabine du fond… ah, putain, cette envie de le rejoindre…
La cabine juste ...