Ma femme et " son guérisseur " (9) - Histoires de Sexe

Ma femme et " son guérisseur " (9)

... du sexe synthétique, pour mieux en apprécier la pénétration que lui donnait son amie, et elle jouissait à ne plus en pouvoir ; les cris de plaisir se mêlaient aux râles de jouissance, aux exclamations de joie érotique : Aline adorait visiblement se faire enculer... et peut-être le fait que ce fut par une femme, qui plus est son amie, et devant une assistance, lui procurait-il encore plus de plaisir.

D’ailleurs, il me venait à l’idée, que c’était peut-être aussi pour se venger d’un mari toujours pédant et doctoral avec son entourage, qu’elle se donnait en spectacle, poussant des cris toujours plus sonores, des plaintes gutturales et des “ oui vas-y, encule-moi, mets-la moi profond, prends mon cul de salope ! “

Oui, Aline, la femme bien sous tout rapport, apparaissait comme une vraie salope, à l’étonnement de tous ceux qui la connaissaient.

Enfin final éblouissant, Aline explosa en une grande plainte de jouissance, écho de son extrême plaisir !

Barbara se retira, fière de son exploit, le corps constellé de gouttes de sueur... quand elle se tourna vers Fred pour attendre ses ordres et avoir son approbation, c’est à un trône vide qu’elle s’adressa ! Fred s’était éclipsé, pendant que toutes les personnes présentes avaient eu le regard hypnotisé par la performance érotique des deux femmes !

Épilogue:

Fred fumait une cigarette, en observant la splendide vallée des Pyrénées qui s’étalait devant lui. L’Espagne dans toute sa splendeur... Un kilomètre, et il ...

... franchissait la frontière pour être recueilli par le réseau qu’il avait mis en place, au cas où, et qui devait l’exfiltrer vers l’Amérique du Sud. Il y avait une ferme, dans laquelle une maquilleuse et des gardes du corps l’attendaient, pour le grimer en un vieillard acariâtre et radin, parlant un portugais parfait, en villégiature dans la fière Espagne ! Nul alors ne le reconnaîtrait plus, et il avait un avion qui l’attendait à Saragosse. Il s’était planqué durant sept jours dans une petite villa près de lourdes, pour laisser les forces de police s’épuiser... avant de passer la frontière.

Tout était parfait... sauf un détail, mais qui avait son importance... il était ruiné !

Durant son existence de patachon invétéré, il avait laissé traîner les codes de ses divers comptes bancaires, qu’il possédait à travers le monde, sous les yeux de ses diverses maîtresses. Rassembler les femmes qu’il avait abandonnées, chacune pour la suivante, ne fut pas difficile, tant était élevé leur degré de haine et le désir de vengeance à son égard.

Le guérisseur fut appelé pour réveiller par hypnose les souvenirs des diverses femmes, qui avaient vu lesdits codes. Cela vint s’ajouter au dossier déjà volumineux qu’avait amassé l’administration fiscale à son encontre. Ainsi purent être rassemblées les informations qui permirent de retrouver les divers comptes en banque planqués de par le monde. Et évidemment ils furent instantanément bloqués... Fred n’avait plus rien de disponible, à part les 30.000 ...