Ma femme et " son guérisseur " (9)
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
“Ainsi est passée la gloire du Monde”: citation latine qui décrit et constate une situation de déchéance sociale et civilisationnelle.
Sur un signe de Fred, l’un des gardes apporta un grand seau d’eau aux deux femmes, qui se tenaient devant Cécile, “ crucifiée”, et évanouie, sur sa croix de Saint-André.
— Réveillez-la mesdames !
Aussitôt Barbara se saisit du seau d’eau froide et le balança sur la pauvre Cécile. Cette dernière eut un grand haut-le-corps et reprit connaissance. Aline la caressa et passa sa main sur le sexe offert, elle commença à titiller le clitoris. Cécile se mit à gémir sous la caresse. Visiblement ma femme aimait les caresses saphiques... intéressant pour la suite.
Après mon doute quant à l’honnêteté de mon ex-boss, qui m’avait fait emprisonner sur ma chaise, je compris que cela n’était qu’une mise en scène pour faire “sortir Jean-Louis et Didier de leur trou”. Je me régalais à l’avance de ce qui allait arriver à ma femme, de même qu’aux leurs. Car je devinai que leur tour viendrait ensuite ; ce que visiblement les deux femmes n’avaient pas compris. Et plus elles seraient vicieuses et cruelles envers Cécile, plus celle-ci se vengerait quand son tour viendrait de “punir” Aline et Barbara. Car à l’évidence, les deux femmes pensaient que, si elles "corrigeaient" ma femme suivant le vœu de Fred, elles échapperaient à leur “supplice” et repartiraient avec leur prébende...
Je devais avouer que, voir ma femme soumise aux caprices sadiques des ...
... deux femmes m’excitait beaucoup... une façon certes mesquine de me venger de son comportement passé à mon égard, mais ô combien jouissive !
Après avoir bien masturbé ma femme, Aline lui gifla durement le pubis, et continua à asséner de grosses claques sur les seins de Cécile. Puis elle alla prendre un “œuf vibrant “ sur la desserte, et l’introduit de force dans le vagin de mon épouse. Appuyant sur la télécommande, elle faisait varier les vibrations qui emmenaient Cécile au plaisir.
Pendant ce temps, Barbara, sans doute plus perverse que son amie, se saisit d’un chat à neuf queues et commença à fouetter ma femme, qui jouissait grâce à l’œuf vibrant dans sa chatte. Les coups pleuvaient sur les seins, le ventre, les cuisses et le sexe, laissant des zébrures rouges sur sa peau laiteuse.
Aline avait, elle aussi, saisi un petit fouet, avec lequel elle flagellait Cécile.
Elle avait poussé le curseur à fond, et ma femme se débattait sous le coup d’une jouissance intense, Barbara elle, mit un malin plaisir à viser le pubis et la fente entrouverte de cette dernière ; les lanières de cuir s’immisçaient entre les cuisses, dans un mouvement vertical, et venaient “mordre” grandes lèvres, clitoris et pubis glabre.
Cécile jouissait et criait, à la fois de plaisir et de douleur. Arrivée à un paroxysme entre plaisir et affliction, jouissance et calvaire, Cécile eut un terrible orgasme qui lui ravagea le ventre et la laissa essoufflée.
— Stop ! Cela suffit... mon cher ami, que ...