Ma femme et " son guérisseur " (9) - Histoires de Sexe

Ma femme et " son guérisseur " (9)

... satisfaction perverse: Barbara allait payer pour les turpitudes de son mari à mon encontre. Ce dernier, abasourdi, détournait le regard.

Puis Cécile attacha des pinces à linge un peu partout sur le corps de son "esclave" d’un temps : l’intérieur des cuisses, les seins, le ventre, et même sur le clitoris et les grandes lèvres de sa "suppliciée." Elle prenait beaucoup de plaisir à tous les cris de douleur que poussait Barbara. Jetant un regard vers Fred, pour y guetter une approbation, celui dit:

" Barbara, tu peux toujours abréger ton calvaire par un signe négatif de ta part... alors ?

— On... on continue... mais Jean-Louis espèce de crevure, tu paieras pour tout ça, tu peux me croire ! " Celui-ci baissa les yeux...

Puis se saisissant du chat à neuf queues, dont s’était servie la superbe blonde au porte-jarretelles blanc, Cécile flagella sa victime, faisant sauter une à une toutes les pinces à linge. Barbara s’évanouit à son tour, et fut réveillée par le seau d’eau que lui administra Cécile !

Sur un signe de la main de Fred, Cécile stoppa et des gardes vinrent délivrer une Barbara, encore sous le coup de la souffrance, avec plein de traces rouges sur le corps.

Fred guetta ma satisfaction... Seule ombre au tableau, Aline, dénudée jusqu’à la taille, avait regardé les deux femmes jouir et souffrir ensemble... mais ne semblait pas vouloir se joindre à elle. Fred sur un ton doucereux s’adressa à elle:

— Alors Aline, tu n’es pas tentée par l’expérience ? Bon, on ...

... va faire autrement alors, gardes saisissez-la !

Aline se débattit sans effet, sous la poigne d’acier des deux cerbères. S’adressant à ma femme et Barbara:

— Mesdames que voulez-vous qu’il arrivât à notre amie Aline ? Je la laisse à votre discrétion !

— Je veux qu’ils la foutent à poil et je veux la torturer à mon tour, je vais lui faire payer ce qu’elle m’a fait cette salope ! (ma femme la regardait avec haine, Barbara ne fut pas en reste)

— Oui, à poil, à poil !

Sur un signe de tête de Fred, le lit fut enlevé par un autre garde, tandis que les deux autres baissaient vigoureusement son string noir, faisant apparaître une jolie petite chatte avec un petit triangle brun bien taillé.

— Cécile et Barbara, je veux que vous la fouettiez toutes les deux. Aline, tu ne m’obéis pas, tu m’as beaucoup déçu... si tu le désires la porte est là. Alors que choisis-tu ?

— Je reste !

— Ah on tient à son petit confort, hein ? Et bien tu vas avoir le cuir un peu tanné ma chérie !

Mesdames, à vous !

Aussitôt Cécile, armée d’un fouet long de deux mètres, visa les fesses de la brune, nue en porte-jarretelles noir. Celle-ci sursauta et cria. Pour échapper à la morsure du cuir, elle fuit vers Barbara qui la flagella méchamment à son tour, avec son chat à neuf queues. Alors un ballet sadique s’installa ; la jolie brune courait entre les deux femmes, ses seins balançant en cadence, qui la fouettaient chacune à leur tour ! Aline criait à chaque coup reçu. Après une dizaine ...