Ma femme et " son guérisseur " (9) - Histoires de Sexe

Ma femme et " son guérisseur " (9)

... voudrais-tu qu’il arrivât à ta femme à présent ?

Je le regardais et réfléchissais à ce que j’avais toujours voulu voir faire par ma femme:

— Je veux les voir baiser toutes les trois !

— Hum... excellente idée ! Je suis sûr que tes deux anciens patrons partagent ta vision des choses ? N’est-ce pas messieurs ?

Je vis les deux compères garder un silence gêné, et je me fis la réflexion que c’est rigolo de baiser la femme des autres, de l’amener dans un chemin de débauche... mais que quand c’est la sienne qui est concernée, c’est beaucoup moins drôle !

— Gardes, détachez Cécile et faites amener le grand lit !

Ce qui fut fait... visiblement Fred avait tout prévu... le vice de ce type était immodéré !

Alors, un grand lit sur roulettes vint occuper le centre de la pièce médiévale, sous le regard de tous, et ma femme, qui reprenait ses esprits y fut allongée toujours nue.

Barbara s’approcha d’elle, bas et porte-jarretelles blancs, les seins qui pointaient, un martinet noir court qu’elle frappait sur la paume de son autre main. Elle s’agenouilla sur le lit, et donna un coup de martinet sur la cuisse de Cécile:

— Viens me bouffer la chatte, salope !

Cécile, soumise, s’approcha timidement, et se plaçant sur le dos, approcha sa tête de l’entrejambe de Barbara ; celle-ci enjamba sa tête et plaça sa vulve sur la bouche de Cécile.

Celle-ci prenant les deux cuisses entre ses mains, verrouilla ses lèvres sur le sexe offert, et sa langue s’enfonça dans sa ...

... grotte. Barbara ondula du bassin et se mit à gémir, visiblement elle aimait le cunnilingus de Cécile. Pourtant elle se remit à flageller le sexe de sa partenaire avec son martinet. Puis le posant, ses doigts investirent la fente de ma femme, et elle commença à la limer, tandis que de l’autre elle titillait le clitoris. Puis elle se baissa vers le sexe brillant, et commença elle aussi à le lécher ; les deux femmes se donnaient du plaisir en 69.

Chacune gémissait et ahanait tout en léchant le sexe de l’autre ! J’éprouvais une vive satisfaction et une grande excitation, à voir ma femme baiser avec cette superbe blonde, en porte-jarretelles. Ayant trouvé chacune leur plaisir, elles se relevèrent et face à face, elles se caressèrent les seins tout en se roulant des palots bien baveux.

Alors sur un geste de la main de Fred, deux gardes se rapprochèrent, séparèrent les deux femmes, et saisissant Barbara, la firent allonger dos sur le lit, et lui emprisonnèrent chevilles et poignets avec des menottes prévues à cet effet... Fred dit :

" Ma chère Cécile, Barbara est à toi... voyons quelle imagination sadique est la tienne ?"

Un rictus aux lèvres, Cécile se dirigea vers la desserte et en ramena un tas d’ustensiles divers. Envoyant un regard sadique à Barbara, elle vit l’expression d’effroi de cette dernière. Ma femme commença à disposer des pinces à seins sur les tétons de Barbara et serra à fond, vu le cri qui s’échappa de sa bouche...

Je devais avouer que j’en tirai une ...