Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe.
Datte: 01/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... fidèles.
• Je sais bien que la tradition musulmane fait de la virginité une qualité requise et recherchée chez tout croyant et croyante avant le mariage. Je sais bien que le mariage avec une femme vierge est préférable au mariage avec une femme qui n’a plus sa virginité. Et la femme que je veux marier n’est plus vierge.
• Ca c’est une certitude, cette chienne lubrique a perverti une bonne partie des jeunes de la cité. Maudite soit cette fornicatrice qui n’hésite pas à chaque fois que l’occasion se présente devant elle et qui a multiplié indéfiniment les conquêtes pour assouvir son stupre, sans se fixer aucune limite.
• Olga a été ainsi. Elle a changé, je le sais, j’en suis certain.
• Je te mets en garde, mon frère. Guidée par son instinct animal, cette femme impure, qui a l’habitude de s’adonner à la fornication, n’hésitera pas à recommencer, même une fois mariée, sans se soucier à aucun moment des conséquences que son acte aurait sur sa propre famille.
Je m’attendais donc à ce que la porte soit définitivement fermée et je me disais que, si ce personnage en avait le pouvoir, il me ferait fouetter au sang ou même lapider.
L’imam ajouta alors :
• J’ai exposé le cas à différents docteurs et théologiens. Les réponses ont été très diverses, car ta requête fait scandale. Il en ressort que le mariage avec une femme issue de l’adultère est déconseillé, sauf si on a l’intention de la rendre chaste. Dans ce cas-là, il devient recommandé et comporte des ...
... récompenses. Il faut aussi qu’elle soit affectueuse avec toi, soumise et de celles qui peuvent avoir beaucoup d’enfants. Dans ce cas, j’exercerai pour votre mariage.
• C’est exactement ce que je veux faire. Regardez comme elle a changé. Elle est désormais soumise à son seigneur et maître. Quant aux enfants, Olga va avoir 33 ans, elle peut en avoir beaucoup d’autres, j’y veillerai.
J’avais accepté tout cela sans broncher. Je considérai que cette nouvelle vie était la punition de toutes mes fautes passées.
Et il fût fait comme Hassan l’avait voulu. Selon la pure tradition marocaine dont était issu Hassan, à quelques jours du mariage, je fus d’abord amenée au hammam pour un bain de lait, afin de me purifier. Cela fût complété par des massages, la manucure, la pédicure et des soins de la peau.
Hassna ajouta méchamment :
• Mon cousin est fou. Rien ne peut te purifier de la boue dans laquelle tu t’es roulée, Kahba !
Puis vint le jour du henné. Pour ce rituel, on m’habilla en vert et la même cousine me tatoua les mains et les pieds. Elle m’expliqua que c’était un symbole de fertilité et de bonheur conjugal. Il est également supposé chasser le mauvais œil. Toujours minutieusement pratiquée, la pose du henné est un moment phare du mariage. A base de plantes écrasées, trempé dans de l’eau de rose, le henné est un symbole encore plus puissant qu’une alliance.
Hassan avait aussi voulu respecter une autre tradition : le jour de son mariage, la femme musulmane ne se contente pas ...