1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe.


    Datte: 01/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    La terrible soirée où j’avais surpris Philippe et Flavienne ensemble, en train de baiser dans notre lit conjugal, avait eu de lourdes conséquences.
    
    Confrontée au choix, ou plutôt à l’ultimatum que m’avait posé Hassan, je l’avais choisi lui et Philippe avait été chassé du domicile conjugal.
    
    En apparence, chacun de leur côté, Hassan, pour ce qui me concernait, Flavienne, en ce qui concernait Philippe, avaient gagné. Ils avaient réussi à détruire notre couple, qui était toujours resté solide malgré (ou peut-être à cause) de la combinaison explosive de mon hypersexualité et du candaulisme de mon époux.
    
    Hassan était lucide. Il savait que j’avais choisi par défaut et sous le coup de la jalousie et de la colère, mais que mon cœur était brisé par le départ de Philippe. Il en était conscient et espérait que le temps ferait son œuvre. Il avait bien l’intention, peu à peu, de faire de moi épouse « normale ».
    
    Jusqu’à la naissance de ma seconde fille, Leila, qui eut lieu 6 mois après ma rupture « définitive » avec Philippe, je n’ai pas revu Philippe, sauf le jour du divorce. J’en souffrais beaucoup, je pleurais souvent, je rêvais de lui. J’ai eu plusieurs fois la tentation de tout faire pour qu’il revienne. Je savais qu’il vivait chez Flavienne et affronter une telle rivale ne pouvait être une partie de plaisir. Comme moi, cette femme était une tigresse, qui ne se laisserait pas écarter sans se battre. Je voulais aller trouver Philippe, me jeter à ses genoux, lui demander ...
    ... pardon, lui crier mon amour. Mais au dernier moment, je n’osais pas. Je me disais qu’Hassan ne l’accepterait pas, que je n’avais pas le droit de le faire souffrir, pas plus d’ailleurs que Flavienne. N’avais-je déjà pas fait assez de mal ?
    
    Et puis je me disais que j’avais eu de la chance d’avoir rencontré Hassan. Il était un homme bon, sévère certes, mais juste, qui m’aimait à la folie et me baisait comme un Dieu. Il était sans doute temps pour moi, à près de 33 ans, mère de famille et attendant un second enfant, qu’enfin je devienne sérieuse, que je construise un couple « normal » et une famille. C’était la première fois depuis que j’avais perdu ma virginité que je rencontrais un tel homme. Je pensais que c’était ma dernière chance et je n’avais pas le droit de la laisser passer.
    
    Comme je l’ai dit, Hassan voulait annihiler mon hypersexualité. Il pensait le faire à travers ses propres performances sexuelles et, en effet, Hassan était un amant hors pair, je peux dire sans doute le plus performant parmi les nombreux hommes qui m’ont honorée depuis la perte de ma virginité. De ce point de vue j’étais satisfaite, d’autant que, comme lors de ma première grossesse, ma libido n’avait pas diminué. Un autre homme, moins solide qu’Hassan, serait tombé malade d’épuisement, mais lui assurait, sans faiblir.
    
    Tout juste si, depuis la fameuse soirée où j’avais fait connaître mon choix, avait-il changé sa manière de s’occuper de moi. Moins de tendresse, de caresses, de baisers. Des ...
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