Chloé à Paris (6)
Datte: 31/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... planche à découper en bois qui faisait très mal mais sans provoquer de saignement. Elle adorait frapper la plante de mes pieds jusqu’à la rendre violacée, jusqu’à ce que marcher devienne un supplice. Ensuite elle s’acharnait sur mes pauvres fesses, sachant qu’ainsi, je ne saurais plus comment travailler, assise ou debout.
D’autant que je portais tous les jours un plug anal monstrueux dont le diamètre mettait au supplice mes muscles intimes. Madame en avait une collection inépuisable et elle en augmentait régulièrement la taille. Après un mois, mon anus ne se fermait plus et était capable de recevoir la main d’Émile sans douleur excessive.
L’après-midi, Émile me surveillait. Je lavais les voitures, nettoyais l’écurie, le garage, toutes les dépendances en fait. Il me suivait cravache à la main et ne se privait pas de me battre. Que ce soit parce qu’il trouvait que je n’allais pas assez vite ou bien pour le plaisir. Ensuite il me faisait courir au moins une heure par jour sur une piste d’équitation. Pour rendre la course plus difficile, j’avais les coudes joints dans le dos par une épaisse courroie de cuir, l’anus distendu par un plug, et des poids accrochés aux tétons et aux lèvres vaginales.
Lui me suivait à bicyclette, sa ...
... cravache frappant régulièrement pour me contraindre à courir. Ensuite il me lavait au jet, eau froide bien sûr, je me savonnais rapidement avant d’être rincée. Je me séchais avec un tissu élimé avant de revenir dans ma cellule, épuisée et affamée.
Un jour, Madame m’a fait agenouiller devant elle dans un salon où elle lisait.
— Un an que tu es à nous, déjà. J’envisage de te libérer, aujourd’hui. Qu’en penses-tu ?
La bouche maintenue béante par l’écarteur de métal, je ne risquais pas de répondre distinctement. Mais je m’affolai, ne comprenant pas pourquoi Madame voulait me chasser. Avec toutes les transformations physiques subies, je ne me sentais pas capable de revenir à ma vie d’avant. Je secouai la tête en signe de dénégation.
— Tu ne le souhaites pas ; dans ce cas, je vais te céder à un maître sévère. Tu seras ravie, l’homme chez qui tu pars ne te ménageras pas. C’est un riche Espagnol qui a fait fortune dans l’immobilier et dans l’élevage. Et surtout c’est une brute sadique qui s’est entouré d’une petite armée de gardes du corps. Chez lui, tu seras saillie quotidiennement par ses animaux comme par ses gens. Et torturée souvent pour le plaisir ; pas le tien bien sûr, mais c’est le lot des esclaves comme toi de souffrir.