La plage (Chapitre 3)
Datte: 30/03/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe
... doigts.
Nouvelle demi-heure de route. Silence oppressant, atmosphère lourde de non-dit, puis Denis se risque, presque timidement :
— Pierre, tu as été génial… Je veux te remercier de m’avoir permis cette aventure qui restera unique dans ma vie…
Bénédicte me broie encore la main. Je réponds en entendant résonner ma voix :
— Ok… Tu as été très bien en empêchant tous ces mecs en rut de la toucher…
— Nous étions là tous les deux pour la protéger… J’avais promis… Confirme-t-il.
Bénédicte le coupe, murmurant à mon oreille :
— Tu ne m’en veux pas trop… Tu as aimé… ?
— Non, je ne t’en veux pas, et j’ai aimé, mais pas comme je l’aurai imaginé…
— Je n’ai pensé qu’à toi… Murmure-t-elle. Et j’ai envie de toi…
— Moi aussi… Lui réponds-je en la renversant sur la banquette, le dos contre la portière.
Presque brutalement, je glisse les mains sous sa jupe, saisit son slip et l’arrache, ouvre mon pantalon. Je bande comme un âne, la tire par la jambe. Elle m’aide en s’ouvrant, se colle à moi, défait ma chemise. J’écarte son chemisier toujours ouvert et me rue sur elle.
Je la pénètre d’un coup, d’une poussée. Elle est trempée, brûlante, et hurle sous l’intromission.
Nous rugissons, soudés l’un à l’autre. Je la baise et elle me baise. Je la prends sauvagement, elle se donne violemment. Sans un mot, farouchement, nous copulons animalement.
J’oublie Denis, la voiture qui roule. Je n’ai plus devant les yeux que la vue de Bénédicte quelques instants auparavant, ...
... nue, indécente, exhibée, empalée publiquement, et je libère d’un coup toutes ces pulsions, cette pression emmagasinée.
Elle le comprend, et murmure, la bouche collée à mon oreille
— Baises-la ta pute… Défonce lui la chatte, punis la pour avoir baisé avec un autre… Je t’aime…
Je ne comprends plus ce qu’elle me dit, j’entends seulement sa voix qui se fait plus aiguë, se transforme en cri :
— Oh oui… Je jouis… Je jouis…
Elle explose. Je suis incapable de la suivre. Je n’ai pas le temps de jouir.
La voiture roule toujours. Elle m’enserre de ses jambes, me branle de ses muscles intimes, me caresse les tempes, et murmure :
— Je t’aime… fais-moi l’amour encore…
Et je fonds, je fonds de tendresse, de bonheur, d’amour… Je me concentre à nouveau sur elle. Elle comprend et me parle toujours :
— Oh oui… Encore fais-moi l’amour… Doucement… Viens dans mon ventre… Viens jouir dans mon ventre…
Lentement, doucement, je la pistonne, je me concentre sur mon plaisir, le sens monter, se concentrer, je sens un poids immense se poser sur mon dos, je sens les muscles de mes épaules se tendre, un bourdonnement envahir mes oreilles, et soudain une explosion, un déferlement de plaisir, un coup de tonnerre dans mes reins.
Je gicle dans son ventre, interminablement, avec une violence inconnue, et je sens s’enfuir les poids, le brouillard, la tension… Je me sens vidé, anéanti, sans force, sans muscles, tandis qu’elle me retient dans ses bras, me caresse la nuque, le dos, ...