La plage (Chapitre 3)
Datte: 30/03/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe
... Denis, les cuisses parcourues de frémissement, une main crispée sur celle qui pelote ses seins, l’autre sur la cuisse de Denis.
Elle jouit en silence, longuement, tremblante, tétanisée, les yeux fermés, face à l’assistance.
Quelques spectateurs applaudissent, l’un d’eux se masturbe ostensiblement, sexe exhibé, et deux couples se caressent frénétiquement.
Béné revient lentement à la réalité, resserre ses jambes qu’elle replie sous ses fesses, tandis que Denis voile pudiquement sa somptueuse poitrine avec les pans du chemisier.
Elle parcourt du regard ceux qui l’entourent, semblant mesurer l’impact de son exhibition, et son regard croise enfin le mien, mi-amusé, mi-contrit.
Je ne peux que lui sourire, attendant une invite à me rapprocher qui ne vient pas. Je reste donc isolé.
Denis se penche à nouveau à son oreille, lui parle longuement. Elle semble enfin acquiescer, se penche sur lui, défait sa braguette, en extrait le sexe tendu, le caresse et le prend dans sa bouche.
La joue appuyée contre le ventre de son amant, elle le suce face à ses spectateurs.
A nouveau, son regard croise le mien, et j’y lis une extraordinaire lubricité, une perversité teintée d’excitation qui me bouleverse.
Personne ne tente de s’approcher d’eux, et cela m’étonne, mais l’autorité naturelle de Denis semble suffire. Il lui touche les hanches et les fesses, retroussant haut la jupe sur ses reins.
Une autre femme est elle aussi penchée sur son compagnon et lui administre la ...
... même privauté, tandis que le couple qui se caressait se masturbe maintenant mutuellement.
Ils sont quatre ou cinq hommes seuls à se masturber debout devant ces différents spectacles.
Soudain Denis repousse la tête de Bénédicte, l’écarte de lui, la relève, la place debout devant lui, glisse les mains sous sa jupe et la déculotte.
Consciencieusement, en homme responsable, il se revêt d’un préservatif, puis pose les mains sur les hanches de Bénédicte, la retourne, dos à lui, et l’invite à s’asseoir sur son sexe tendu.
Masquée par sa jupe, mais trahie par l’expression de son visage, Béné s’empale sur la queue de son amant, à nouveau face à ses admirateurs, et, bien assise sur les genoux de Denis, se redresse, s’appuie contre le torse du garçon, renverse la tète sur son épaule.
Denis ouvre à nouveau les pans de son chemisier, fait glisser le soutien-gorge, révèle les seins pleins aux tétons saillants, les masse vigoureusement, puis de son autre main soulève la jupe de sa maîtresse, dévoilant pour la première fois son coquillage imberbe, gonflé, fendu et ouvert, avalant la bite fichée jusqu’aux couilles.
Je suis un peu loin pour apercevoir son bouton d’amour, mais je le devine tendu.
La scène est d’une indécence totale, d’une crudité extrême, et je me sens au bord de la folie, tant bat mon cœur et le sang à mes tempes. Mes oreilles bourdonnent, et l’excitation que je croyais à son paroxysme augmente encore.
Je ne sais si j’entends ou vois Bénédicte gémir, la ...