Ma femme fait des choses (vraiment) très sales en cachette ! (1)
Datte: 01/04/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Inavouable69, Source: Xstory
... train de se faire chier dans la bouche, de Bea Schnuckel en train de laper le cul merdeux d’un vieil allemand, et autres performances excrémentaires.
Et puis, il s’est passé quelque chose.
Marina était à Milan, comme souvent, et j’avais décidé de faire quelques papiers administratifs. J’avais besoin d’un certificat que je ne retrouvais pas, et je me suis décidé à regarder si Marina ne l’avait pas rangé dans le secrétaire qui lui servait de bureau à la maison. Dans l’un des tiroirs, je vis un petit post-it qui me donna un coup au coeur : il était juste indiqué "sc2017" dessus. Je savais très bien ce que signifiait ce code : c’était le mot de passe qui protégeait l’un des dossiers de mon ordinateur; un dossier bien précis, celui de mes vidéos scato - j’en stockais près d’une cinquantaine, mes préférées. Ce code, je ne l’avais jamais écrit nulle part. J’examinai mon ordinateur et finis par découvrir assez rapidement qu’un logiciel espion y était installé : le genre de petit logiciel discret qui transmet les frappes du clavier à l’indélicat trop curieux. Et de toute évidence, l’indélicat était une indélicate. Je la savais douée en informatique - c’était même une vraie petite geekette, mais je ne l’imaginais pas ainsi - et d’ailleurs, pourquoi ?
Je m’aperçus que le petit logiciel était installé depuis deux ans et je compris : à cette époque, Marina m’avait soupçonné d’une infidélité - à tort - avec une secrétaire, Catherine. De toute évidence, elle a voulu en avoir le ...
... coeur net, mais au lieu de tomber sur des mots d’amour, elle a récupéré des mots de passe et noté celui-ci. Avec le keylogger, le petit logiciel en question, elle savait également ce que ce mot de passe pouvait ouvrir.
Ayant moi-même une passion pour le bidouillage informatique, je retournai le logiciels espion contre son instigatrice : s’il mémorisait et transmettait toutes mes actions, il avait sans doute aussi mémorisé les siennes, si elle était venu fureter sur mon ordi. Je recherchai méthodiquement les éventuelles traces de manipulations pendant les périodes où j’étais absent.
Bingo.
Depuis plusieurs mois, presque à chacune de mes absences hors de la ville, il y avait des opérations enregistrées par le logiciel. Et à chaque fois, le répertoire protégé avait été ouvert et utilisé.
Il n’y avait pas de doute : en mon absence, Marina venait regarder mes films scato. En regardant les horaires, il était facile de voir qu’elle y restait un long moment : une, deux, voire parfois trois heures en soirée ! Elle devait se masturber comme une folle en regardant ces femmes et ces hommes se chier dessus, et manger leurs excréments.
Je ne savais que faire. D’un côté, je me sentais honteux et découvert. De l’autre, je me disais qu’on en était au même point, et que ce serait l’occasion de lui proposer de passer à la pratique.
Après de longues hésitations, je me contentai de placer le post-it sur l’écran de son propre ordinateur.
Marina est rentrée le surlendemain. Elle a ...