1. Un long week-end de jouissance


    Datte: 28/03/2020, Catégories: f, h, fh, fplusag, fagée, extracon, cadeau, alliance, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, légumes, pénétratio, Humour bellemere, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    ... êtes incorrigible ! Notre séance de tout à l’heure m’a excitée, que croyez-vous ? Il y avait si longtemps que je n’avais palpé un sexe masculin. J’ai mes envies moi aussi. Alors sortez ou entrez, mais ne restez pas ainsi sur le pas de la porte.
    
    Je vins donc m’asseoir près d’elle et lui proposai de lui rendre la politesse. Elle ne répondit pas et se contenta de me prendre la main et de la poser sur son chemisier. Quel plaisir de caresser ses gros seins ! Je m’allongeai près d’elle et mes deux mains jouaient sur son corps. Un à un je défis les boutons de son chemisier, je couvris son ventre rond de baisers. Elle ne disait plus rien sinon « Frédéric, vous êtes fou ! », mais elle se laissait faire. Ma main glissa dans sa culotte et vint caresser son bouton d’amour. Quelle chaleur, quelle moiteur dans son sexe ! J’étais fier de déclencher de telles envies chez cette femme.
    
    C’est elle qui dégrafa sa jupe et la fit glisser aux pieds du lit. Je lui enlevai soutien-gorge et sa culotte. Je n’avais plus que Maryse nue près de moi, avec seulement ses bas. Je continuai mes caresses et me serrai contre elle. Mon sexe se frottait à ses hanches. Quelle peau douce ! Je quittai mon pantalon et mon caleçon et me retrouvai nu à mon tour. Je sentais la respiration de Maryse s’accélérer, son corps ondulait à mes caresses. Mon sexe se gonflait de désir. Je n’y tins plus et je vins sur elle, mon gland à la porte de sa grotte humide.
    
    — Non Frédéric, il ne faut pas ! dit-elle ...
    ... faiblement.
    
    Mais pas un geste de refus, au contraire, elle me caressa la nuque puis me donna un long baiser. Comment résister ? Je m’enfonçai en elle, je sentis son sexe me serrer la bite. Je commençai de lents va-et-vient, elle avait fini par accepter et maintenant elle ne disait plus que des « Oh oui !!! ». Elle me prit les fesses entre ses mains pour me donner son rythme, elle réclamait des coups de boutoir ! Le rythme s’accélérait et j’entendais comme une longue plainte : elle jouissait de tout son être, je ne fus pas long à venir aussi. Nos râles emplissaient la pièce !
    
    Nous sommes restés enlacés, épuisés, de longues minutes, puis Maryse, toujours les pieds sur terre, regarda sa montre et me dit :
    
    — Frédéric, déjà 16 h. Ma fille va rentrer. Vite, préparons-nous ! Nous sommes fous !
    
    Elle avait raison, une fois rhabillés ma femme ne fut pas longue à revenir :
    
    — Alors, maman, tu as passé une bonne après-midi ?
    — Oh oui, ma fille, tu as un mari très attentionné. J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyé, Frédéric, avec une vieille dame comme moi ? Je sais bien que ma compagnie n’est pas passionnante.
    
    Et la soirée se passa tranquillement, comme si rien n’était arrivé. À la fin du repas, Maryse se leva puis nous ramena de sa chambre ses traditionnels petits cadeaux, un foulard pour mon épouse, un caleçon pour moi. Nous avons papoté un peu, puis Maryse nous dit qu’elle allait se coucher, le voyage l’ayant fatiguée. Nous ne fûmes pas longs à en faire autant. Quand je partis ...
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