1. Un long week-end de jouissance


    Datte: 28/03/2020, Catégories: f, h, fh, fplusag, fagée, extracon, cadeau, alliance, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, légumes, pénétratio, Humour bellemere, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    — Tu sais que maman vient nous voir ce week-end, chéri. Elle arrive à la gare vendredi en début d’après-midi. Je ne sais pas comment j’irai la chercher, on a une réunion hyper importante au boulot.
    — Mais ne t’inquiète pas ma chérie, j’ai des heures à rattraper, j’irai attendre ta mère et je lui tiendrai compagnie.
    
    Il faut vous dire que j’ai 47 ans et ma belle-mère Maryse 63. Elle est veuve et vient souvent nous voir. Moi depuis quelques mois, je fantasme sur elle au point d’en devenir fou. J’ai pris plein de photos d’elle à son insu, même sous sa douche, c’est vous dire ! Et je me demande toujours si elle ne ressent pas les mêmes choses pour moi. Toujours attentionnée, elle me ramène souvent des petits cadeaux (elle adore m’offrir des caleçons !) et même l’autre jour j’avais fait tourner ma webcam dans sa chambre, qui me sert de bureau, pendant qu’elle se déshabillait et je l’ai vue essayer de me mater quand je prenais ma douche (la salle de bain est à côté et j’avais laissé la porte entr’ouverte).
    
    C’est vous dire que cette annonce de ma femme au petit-déjeuner me laissait espérer de réaliser enfin mon rêve. Si j’osais bien sûr, parce que Maryse est quand même ma belle-mère !
    
    Fébrile, j’attends donc sur le quai de la gare. Je vois Maryse arriver de loin avec sa grosse valise. Je me précipite vers elle, je lui fais une bise et j’empoigne son bagage. Comme elle me plaît ! Elle d’habitude si stricte s’est habillée aujourd’hui d’une jupe rouge, elle a un chemisier ...
    ... entr’ouvert et des bas, ou des collants, noirs. Elle est maquillée, sans outrage, et parfumée abondamment. Je la félicite pour sa mise et elle me répond :
    
    — Frédéric, ma fille m’a dit que vous aviez eu la gentillesse de prendre un congé pour me tenir compagnie. Je ne voulais pas vous faire honte. Vous savez, les gens s’imaginent n’importe quoi…
    
    C’était tout elle, ce genre de phrase, toujours à double sens, mais bon, on verrait bien. Une fois dans la voiture, j’avais du mal à détacher mes yeux des genoux de Maryse gainés de nylon qu’elle croisait et décroisait. Je fis plusieurs fautes de conduite, ce qu’elle remarqua.
    
    — Alors, mon gendre, je vous trouve bien distrait aujourd’hui. Vous ne me parlez pas. Vous n’êtes pas à votre conduite. J’espère que vous n’avez pas de soucis. Il faut me le dire, vous savez que je suis une amie pour vous.
    
    À quoi jouait-elle ? Avait-elle décidé de me mettre au supplice ou bien ne se rendait-elle compte de rien ? Heureusement, nous arrivions à la maison. Une fois dans le salon, Maryse sortit de sa valise un petit paquet :
    
    — Tenez Philippe, un petit cadeau pour vous, oh vous verrez, ce n’est pas grand-chose.
    
    Le rituel, quoi… J’ouvris mon paquet et, au lieu du traditionnel caleçon, je découvris dans le paquet une culotte de Maryse ! Une de ses vieilles culottes de grand-mère en coton blanc, bordée de dentelles… Je balbutiai :
    
    — Mais vous êtes sûre que vous ne vous êtes pas trompée ?
    — Mais non Frédéric, j’ai bien remarqué que cet ...
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