1. Un long week-end de jouissance


    Datte: 28/03/2020, Catégories: f, h, fh, fplusag, fagée, extracon, cadeau, alliance, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, légumes, pénétratio, Humour bellemere, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    ... tiennent encore si bien, il paraît que ça nourrit la peau. Mais lui il s’endormait tout de suite après, et souvent il fallait que je me finisse toute seule dans la salle de bain. Vous n’êtes pas comme ça, vous, Frédéric ?
    — Non, non, Maryse.
    
    Et je commence à me caresser en l’écoutant.
    
    — Vous savez, maintenant la courgette est bien chaude, je la promène sur mon ventre. Vous aimez mon ventre, Frédéric ? J’aime sentir une queue palpiter contre mes bourrelets, vous aimez aussi, Frédéric ?
    — Oh oui, Maryse !
    — Alors racontez-moi, à votre tour.
    — Eh bien je caresse votre ventre avec ma queue, je la frotte lentement, je sens votre peau douce. Mes mains caressent vos fesses.
    — Oh oui, Frédéric !
    — Mettez-vous à quatre pattes, Maryse, que je contemple votre croupe. Vous sentez ma queue qui s’y promène, qui la caresse ?
    — Oh oui, Frédéric !
    — Et ma main qui s’active sur votre clitoris ? Qui le caresse doucement.
    — Oh Frédéric, oui, je sens tout ça !!! Je suis trempée !!! Venez !
    — Oui, Maryse, je vous ai pénétrée maintenant. J’aime voir vos fesses en même temps que je vous baise. Je vais et viens lentement, je me retire presque à chaque fois.
    — Oh Frédéric !!! Je sens votre courgette en moi. Vous vous caressez aussi ?
    — Mais oui, ma belle, je me branle pour vous.
    — Alors chevauchez-moi ...
    ... au grand galop ! J’en ai trop envie.
    — Oui, Maryse, je vous prends à fond. Vous sentez ma queue qui vous livre de grands coups de boutoir ?
    — Oui, Frédéric, oui !!! Oh que c’est bon !!!
    
    De l’entendre jouir me déclenche un orgasme simultané :
    
    — Oh Maryse, oh Maryse !
    — Oh Frédéric, oh Frédéric !
    
    Maintenant Maryse a repris sa voix habituelle, elle parle dans le combiné et me susurre :
    
    — Nous sommes fous, j’ai honte. Mais c’est si bon.
    
    Nous nous disons au revoir. Je vais pouvoir me coucher, épuisé, mais heureux. Nathalie ne tarde pas à arriver. Je suis dans la chambre en train de lire :
    
    — Alors mon chéri ? Tu as passé une bonne soirée ?
    — Ouais, tu sais j’avais besoin de me reposer. J’ai pas fait grand-chose. Au fait, ta mère a téléphoné, il faudra que tu la rappelles demain.
    — Qu’est-ce qu’elle voulait ?
    — Oh je sais pas trop, te parler, je crois, il y a une histoire d’expo de peinture ou je ne sais quoi.
    — Je vois ça, une fois de plus tu t’es conduit comme un ours au téléphone ! Je sais bien que les histoires de ma mère ne t’intéressent pas, mais tu pourrais au moins faire semblant des fois ! C’est fou ce que tu peux être égoïste !
    
    Et je m’endors en riant sous cape. «Égoïste », la mère et la fille ont employé le même mot, mais il y en a une qui sait en prendre son parti… 
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