1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. La sodomie (1/1)


    Datte: 27/03/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... été dans une famille allemande pendant mes vacances, juste avant guerre et je comprenais ce qu’ils disaient dans leur langue.
    
    • Je n’aurais pas aimé être à ta place, papa pardon, je t’ai dit, tu.
    
    • Aucun problème, j’allais te le proposer, ce que je peux te dire, c’est qu’après celui qui semblait être le chef soit sorti, au moment où elle allait se relever en pleure, le dénommé Otto, a aussi profité d’elle.
    
    Contrairement au chef, il prenait son temps, il l’a retourné et toujours sur la table, il l’a pris à son tour, Viviane se mordait le point pour ne pas hurler, mais la nature est la nature et c’est un tout autre cri qui est sorti de sa bouche, elle a joui atteignant même l’orgasme.
    
    « Otto, prends les œufs et viens. »
    
    « Attendez chef deux secondes, je lui remplis le vagin à cette salope. »
    
    • Viviane était encore sous le choc quand lui aussi s’est vidé, les couilles avant de prendre le panier où se trouvaient les œufs et laisser ta belle-mère les jambes dans le vide.
    
    Quand je l’ai rejoint, j’ai vu deux choses, sa chatte débordant de sperme, mais mélangé à du sang, pour nous sauver, elle n’avait pas hésité à perdre son hymen.
    
    • Et tu l’as épousé malgré cela !
    
    • Oui, mais bien plus tard, quand le soldat allemand a dit à son collège qu’ils allaient faire mouvement, c’est contre notre maquis que ce mouvement devait avoir lieu.
    
    Ils ont attaqué à l’aube, j’ai vu le chef à quelques mètres de moi, je lui ai mis une balle dans la tête, j’ignore si le ...
    ... dénommé Otto s’en est tiré, même après-guerre, je n’en ai jamais plus entendu parler.
    
    Quant à moi, c’est grâce au copain avec qui j’avais été dans la ferme que je m’en suis sorti, il connaissait un passage qui nous a permis de rejoindre la Suisse, j’y suis resté plusieurs mois, jusqu’à ce que les allemands rejoignent leur pays un peu contraint par les alliers, il est vrai.
    
    • Et Viviane, pardon maman ?
    
    • Quand je suis revenu, j’ai appris qu’elle avait mis au monde un joli petit garçon, elle avait été tondue par Gertrude et son mari comme une fille à soldat et elle avait perdu son poste à l’école.
    
    Je les ai pris tous les deux et je les ai emmenés à Bordeaux où j’ai obtenu sa réhabilitation et où nous avons fait notre vie, tu vois, il n’est pas nécessaire d’être vierge pour être aimée et c’était loin d’être une marie-couche-toi-là.
    
    • Si je comprends bien, George n’est pas ton fils, son père est allemand !
    
    • Oui, ton mari a un père allemand, c’est sûr, mais lequel des deux a engrossé ta belle-mère, le chef que j’ai descendu où Otto l’homme au fusil, nous ne le saurons jamais.
    
    Mais tu voulais me demander quelque chose quand je suis parti dans l’évocation de mon couple au moment de la guerre.
    
    • Oui, peux-tu me dire s’il est normal que dans un couple, l’homme se contente de prendre sa femme en se couchant sur elle, entre et sort quelques coups et décharges avant de s’endormir !
    
    Suis-je normale, une copine adore se faire sodomiser et George me refuse de goutter ...