COLLECTION HISTOIRE COURTE. La sodomie (1/1)
Datte: 27/03/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... manger.
Il fallait simplement leur faire peur afin qu’ils réduisent leur collaboration au strique nécessaire et qu’ils nous donnent des vives en nous gardant la meilleure part.
Tout a bien marché, nous venions de saucissonner le couple vert de peur sur leur lit quand nous avons entendu frapper à la porte de la cuisine.
« Fräulein Gertrude, c’est pour des œufs, nous voulons faire une omelette. »
• Nous étions, nous aussi, verts de peur, ils allaient trouver bizarre que personne ne vienne ouvrir alors que les fermiers étaient toujours présents, nous avons rapidement réagi en plaçant nos poignards sur la gorge de nos saucissonnés.
J’ai mis ma main sur leur bouche et j’ai fait un geste à Viviane qui a compris, est allée chercher des mouchoirs dans l’armoire, que nous avons placée dans leurs bouches.
Viviane nous a fait signe de nous taire, qu’elle allait aller leur ouvrir pour les éloigner.
Nous l’avons entendue ouvrir.
« Fräulein, vous êtes l’institutrice, que faîte vous là, nous venions chercher des œufs pour faire notre omelette, je le dis bien en français, Mademoiselle ! »
« Ya, pardon, oui, je parle anglais, mais pas allemand, des œufs j’ignore ou Gertrude les stocks. »
« Dans l’armoire qui est là, mais que faîte vous ici, les fermiers sont absents ? »
« Yes, pardon, oui, ils sont partis à l’enterrement de la sœur de Gertrude près d’Annecy. »
« C’est bizarre, je connais bien Gertrude et surtout Paul, il m’a dit un jour qu’il n’avait ...
... jamais quitté sa ferme.
Otto va faire un tour à l’étage, regarde que tout soit normal. »
« Pourquoi ne me croyez-vous pas, vous êtes des hommes seuls en France, on pourrait s’arranger ? »
• C’est comme cela que nous avons entendu, du haut de l’escalier, puis vue, car j’étais descendu de quelques marches pour voir si je pouvais faire quelque chose, ce qui aurait été suicidaire, la distance était trop grande, or Otto tenait son fusil prêt à l’emploi.
J’ai vu Viviane contrainte par celui qui semblait le chef à prendre la verge de notre occupant qu’il était sorti dans sa bouche, j’aurais hurlé, mais je savais que si je le faisais, il y aurait au moins trois morts.
Il a relevé ta belle-mère, lui a arraché son corsage me montrant ses jolis petits seins qui me faisaient rêver sans ne les avoir jamais vu, il en a fait de même avec sa jupe, l’a placé les seins sur la table.
Il a arraché sa culotte qu’il a posée sur la table et l’a enfilé lui donnant de grand coup de bite.
J’entendais chaque fois que ses couilles frappaient sa chatte le bruit et les Han ! que le salopard émettait et surtout au moment où il a déchargé.
J’espérais qu’ils partiraient, mais le calvaire de Viviane n’était qu’à son début.
« Otto, elle est à toi, profite de cette petite pute française, demain nous faisons mouvement et je ne te promets pas que tu tireras un coup avant de rejoindre le paradis des soldats, je t’attends dehors, je vais fumer ma clope. »
• J’ai fait de l’allemand et j’ai ...