1. La bourgeoise et le marabout (19)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... derrière, un travesti asiatique pratique une fellation à un quadra BCBG costard cravate qui fait certainement une petite pause dans les lieux avant de rentrer à la maison. Je me décide à monter la petite dizaine de marches qui mènent aux autres rangées de sièges installées en hauteur au balcon. Je me glisse jusqu’au dernier rang et m’installe pour regarder quelques images du film. La femme à l’écran me ressemble un peu, la cinquantaine, bien foutue, bourgeoise à souhait. Quatre solides gaillards l’entraînent dans une cave où ils la dévergondent. Je m’aperçois alors que deux jeunes blacks viennent de s’installer de part et d’autre de moi ; l’un des deux était à la caisse lorsque nous sommes arrivés avec Monsieur Coulibadou. Bien vite, leurs mains se font entreprenantes sur mes jambes et mes cuisses ; j’imagine qu’ils doivent aimer caresser de jolies jambes gainées de bas noirs mais qu’ils n’en ont pas l’occasion tous les jours. Tandis que l’un m’oblige à me pencher vers lui pour m’embrasser à pleine bouche, l’autre s’incline vers ma poitrine et commence à me mordiller doucement les seins. Ils semblent connaître mes points faibles ! Je me laisse aller, les jambes grandes ouvertes pour qu’ils puissent glisser leurs doigts dans ma fente déjà bien humide. Je bombe la poitrine pour faire mieux ressortir mes seins et ainsi permettre de mieux s’occuper de mes tétons. J’incline la nuque en arrière et m’offre ainsi sans retenue aux baisers brûlants.
    
    Une dizaine de minutes sont ...
    ... passées lorsque les deux jeunes hommes se lèvent, me prennent chacun par un bras et m’entraîne vers les toilettes situées à gauche du balcon. Il fait sombre et je devine des silhouettes dans la pénombre. Les deux blacks ont déjà sortis leur sexe et m’attirent entre eux deux. Je suis debout, sans possibilité de bouger beaucoup entre ces deux solides garçons. Celui de devant frotte sa queue à ma fente et trouve vite la voie ; il faut dire que je suis déjà bien ouverte. Le second caresse mon petit cul avec l’extrémité de sa tige, pousse un peu plus fort, recule un peu, revient au contact et, petit à petit, se glisse en moi. Mes jambes tremblent mais je ne risque pas de tomber, maintenue comme je suis pas ces deux glaives d’ébène plantés en moi bien profond. Pendant ce temps, des mains inconnues m’explorent le corps, me caressent les fesses, me flattent la croupe et s’occupent de mes seins. Je devine, plus que je ne vois, que l’on se branle dans l’obscurité en essayant de se coller à moi. Mes deux baiseurs redoublent d’effort, me prennent plus vigoureusement et jouissent longuement en poussant de longs soupirs de satisfaction. A peine sont-ils retirés que de puissants jets de foutre, venus de je ne sais où, retombent sur moi, m’arrosent les fesses et les cuisses puis ruissellent le long de mes jambes. Je suis vidée, saoule de tant d’orgasmes. Soudain, une voix grave que je reconnais se fait entendre dans la pénombre des toilettes qui sentent le sexe, la luxure et le foutre
    
    — Venez ...