1. La bourgeoise et le marabout (19)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... chaises hautes, aux tables qui font face à la vitre qui donne directement sur la rue. Ultime consigne, je dois bien croiser les jambes et laisser le bas de mon manteau ouvert.
    
    Quelques minutes plus tard, je suis au Mac Donald installée avec un thé à la menthe. Je croise bien haut les jambes de manière à ce que le haut de mes cuisses soit bien dégagé et j’imagine que, pour ceux qui sont attentifs en passant sur le trottoir, la vue doit être des plus plaisantes. Je savoure mon thé et bien vite je remarque que quelques hommes passent et repassent sur le trottoir et ne se gênent pas pour me mater. Soudain, voilà maître Coulibadou qui s’assoit à côté de moi, lui aussi avec un thé. A peine est-il assis qu’il me demande de lui raconter comment ce sont passées ces journées depuis notre dernière rencontre au sauna d’à côté. Tandis que je m’exécute et lui relate mes relations conjugales et extraconjugales, l’une de ses mains se pose sur une de mes cuisses et me force à bien écarter les jambes. Puis il veille à bien maintenir la pression sur ma cuisse pour m’interdire de réagir. Je sais que dans cette position, sur ma chaise haute face à la vitre, tout le monde peut voir que je porte un string fendu qui laisse entrevoir ma touffe de poils pubiens. Trois ou quatre hommes sont maintenant arrêtés sur le trottoir et nous font face. Monsieur Coulibadou leur fait un grand sourire et sa main remonte un peu plus haut pour bien se poser sur ma fente. Il me caresse et la chaleur de sa main ...
    ... m’irradie tout le bas-ventre. Soudain il se lève et me dit
    
    — Venez Hélène, nous allons voir si ces messieurs ont envie d’en voir plus.
    
    Nous sortons du Mac Donald et, à peine avons-nous fait quelques pas sur le trottoir à droite, que mon maître m’entraîne sous un large porche qui donne sur un cinéma qui s’appelle l’Atlas. Aux affiches qui figurent sur les murs du porche, je comprends tout de suite qu’il s’agit d’un cinéma un peu particulier. Il paye une seule entrée à la caisse et précise au black qui encaisse les 10 euros
    
    — J’accompagne Madame jusqu’à la salle mais elle va entrer seule. Je reviens la chercher dans une petite heure.
    
    Le black doit connaître Monsieur Coulibadou car il acquiesce avec un large sourire. Mon maître m’explique qu’il y a en fait deux salles de cinéma dans l’établissement, une au sous-sol et une au rez-de-chaussée avec un balcon. Puis, il me demande de retirer mon manteau, le prend sous son bras et me dit
    
    — Hélène, ici vous n’avez pas besoin de votre manteau. Visitez les deux salles et laissez vous aller.
    
    Je le regarde s’éloigner avec un peu d’angoisse et c’est en tenue très légère - un soutien-gorge demi bonnet, un porte-jarretelles retenant mes bas noirs, un string fendu et mes escarpins – que je pousse la porte battante et commence à descendre les quelques marches qui mènent à la salle du sous-sol.
    
    Une fois en bas, je m’immobilise pour que mes yeux s’habituent à l’obscurité de la salle qui n’est éclairée que par la lumière des ...
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