1. La bourgeoise et le marabout (19)


    Datte: 01/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Je suis derrière mon ordinateur au bureau lorsque je reçois un SMS ; ma respiration s’accélère car c’est maître Coulibadou qui m’écrit. Comme toujours, son SMS est des plus laconiques mais je sais que chacun de ses messages est une porte ouverte sur une belle rencontre. Au cours de la journée, je relis plusieurs fois son petit mot « rendez-vous après-demain jeudi 15h30 chez Monsieur Robert qui vous donnera les consignes » et lorsque je rentre à la maison le soir, ma petite culotte est toute trempée. J’ai envie de sexe tout de suite et, pour m’apaiser, j’attends avec impatience le retour de François mon mari.
    
    Lorsque j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, je suis déjà dans notre chambre et je l’appelle
    
    — François, viens vite. J’ai besoin de toi.
    
    Lorsque qu’il me rejoint dans la pièce, je suis à genoux sur le prie-Dieu face au miroir de l’armoire. J’ai retiré mon tailleur et je ne porte qu’un serre-taille qui me fait bien ressortir la poitrine, des bas autofixants qui dessinent parfaitement mes jambes et des escarpins à hauts talons qui soulignent mon côté bourgeoise. Dans le miroir, je vois François qui fait un grand sourire, commence à défaire sa braguette tout en s’approchant de moi, sort sa verge qu’il glisse entre mes jambes, s’empare de mes hanches à deux mains et me pénètre d’un coup sec.
    
    — Ma femme est en manque de queue me semble-t-il. Je vais me faire un plaisir de la calmer par une bonne saillie.
    
    énonce-t-il à voie haute tandis qu’il commence à me ...
    ... besogner.
    
    — Oui, tu veux faire de moi une salope et je souhaite progresser. Tu devrais t’adjoindre un complice puisque tu te complais parfois à me regarder être bien baisée.
    
    lui dis-je en ayant déjà en tête une petite idée sur le complice qui lui conviendrait.
    
    — Oui tu as raison, je vais y réfléchir sérieusement. J’adore en effet te partager et te regarder.
    
    me répond-il.
    
    Lorsque ses longs jets de foutre m’inondent la chatte, je suis en train de penser à mon maître.
    
    Comme lors de mes escapades précédentes à Pigalle, je suis sensée être en rendez-vous professionnel avec l’un de nos clients du 18ème arrondissement. Il est tout juste 15h30 lorsque j’arrive à la boutique de Monsieur Maurice. Il me fait la bise puis me dit qu’il regrette que je ne vienne pas pour de nouveaux essayages. Puis, il me précise les consignes de Monsieur Coulibadou que je dois appliquer à la lettre. Je passe donc dans l’une des cabines suivie par le gérant des lieux, il me fait retirer ma robe et me précise que je la récupérerai avant de rentrer chez moi puis il me tend un string fendu que je dois mettre à la place de mon tanga. Il me fait remettre mon léger manteau directement pas dessus ma lingerie mais m’interdit de refermer les boutons du bas. Dès que je marche, mon manteau s’entrouvre pratiquement jusqu’au niveau de mon sexe. Puis Monsieur Maurice me dit que je dois aller attendre Monsieur Coulibadou au Mac Donald de l’autre côté du boulevard de Clichy. Je dois m’installer à l’une des ...
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