1. Chloé à Paris (4)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... collait à mes muqueuses. Je fis la grimace en constatant qu’il était sale et malodorant ; je le nettoyai avec des mouchoirs en papier, affreusement gênée en réalisant que mon anus avait du mal à se refermer. Je déjeunai debout d’une salade niçoise achetée dans une supérette, me demandant si j’allais pouvoir me sodomiser à nouveau sur le cylindre non lubrifié.
    
    La réponse était oui ; ma salive a joué le rôle de lubrifiant de substitution et mon anus s’est ouvert suffisamment pour me permettre de m’asseoir lentement et recevoir sans trop de difficulté le gode en moi. En fin d’après-midi, madame Chandler est entrée dans mon bureau sans s’annoncer et m’a lancé :
    
    — Aujourd’hui tu rentres chez toi pour la dernière fois. Tu vides toutes tes affaires, tu as beaucoup de choses ?
    
    — Non, des vêtements, des affaires de toilette. Le plus volumineux, c’est les draps et les serviettes.
    
    — Tu laisseras tout ça. Tu peux avertir le propriétaire dès ce soir ?
    
    Une agence immobilière dans ma rue s’occupait de la gestion, je pourrais y aller et les prévenir. J’étais inquiète de ce que me réservait cette femme autoritaire.
    
    — Oui, je peux le faire. Mais je vivrai où ?
    
    — Eh bien, chez nous, bien sûr ! J’ai besoin d’une ...
    ... bonne à tout faire, tu sembles docile et je ferai de toi notre esclave soumise. Mon chauffeur passera te chercher dans deux heures pour te conduire chez nous.
    
    — Mais… bien Madame, capitulai-je.
    
    — Je te préviens, tu seras traitée très durement, battue pour le plaisir, prise par tous tes orifices et privée de liberté. Tu n’auras plus aucun droit, tu me remettras tes papiers et tout ce que tu possèdes. Tu subiras des modifications physiques définitives, piercing, marquage, tatouage, ou autres. Tu ne sortiras plus de notre maison sans surveillance. Qu’en dis-tu ? Si tu le souhaites, tu peux encore partir, et c’est tout de suite.
    
    — Madame, je vous obéirai.
    
    — Bien ; dans ce cas, n’oublie pas de nettoyer le gode avant de partir.
    
    Je baissai les yeux en rougissant, mon sang bouillonnait littéralement. Je ne savais pas dans quoi je m’engageais, mais il était impensable que je renonce maintenant. J’allais plonger dans un univers inconnu de mon plein gré, quitte à m’y perdre corps et âme. Mme Chandler quitta mon bureau et je me levai quelques minutes plus tard, grimaçant en libérant mon anus dilaté.
    
    Je nettoyai soigneusement la colonne de plastique puis partis à mon tour. J’avais à faire pour obéir à mes maîtres. 
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