Chloé à Paris (4)
Datte: 26/03/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Je sursautai, paniquée, en comprenant que nous n’étions pas seuls ; quelqu’un, une femme, avait accompagné Chandler. Je poussai un cri en couvrant ma poitrine et mon sexe de mes mains. Dans le même mouvement je me retournai et vis une femme en tailleur chic qui me toisait en souriant. Son sourire s’effaça aussitôt et ses yeux bruns me fusillèrent.
— Reprends la position, salope ! Personne ne t’a autorisée à te couvrir les seins. Vite !
— Tu entends ma femme ? tonna Chandler, courroucé. Obéis !
Matée, je me remis maladroitement en place, les oreilles brûlantes tellement j’avais honte. Sa femme ? Elle passa devant moi et me toisa à nouveau, un rictus mauvais aux lèvres. C’était une jolie brune dans la quarantaine, bien plus grande que moi avec ses talons hauts, maquillée avec classe et parée de nombreux bijoux luxueux, bagues, collier et bracelets en or.
— Ainsi, voici cette petite dinde qui s’exprime comme une pute de bas étage. Tu es sûr qu’elle est majeure ? On lui donnerait à peine quinze ans. Petite, menue, pas de seins, peu de hanches, une taille si fine…
— Elle vient d’avoir dix-huit ans, ma chérie.
— Parfait, alors. Jeune, malléable, docile.
— Oui, et avec ce qu’il faut de caractère pour que ce soit un plaisir de la dresser.
Je ne suivais pas tout ce qu’ils disaient, mais le peu que je comprenais suffisait à m’inquiéter. Ils parlaient devant moi comme si je n’étais pas là, comme si j’étais un animal en fait. Un poulain mis à l’encan que deux ...
... maquignons évaluent.
Il me fallait réagir, mais comment ? Je n’en avais pas la moindre idée. Je n’ai pas un tempérament rebelle, je n’aime pas me mettre en avant en cas de conflit, je me soumets naturellement à l’autorité. Et je savais que mon emploi ne tenait qu’à un fil. Mon logement, ma vie en dépendaient, j’avais désespérément besoin d’un salaire pour ne pas sombrer et devenir SDF. Alors je ne bougeai pas, malgré mes tremblements et les larmes qui coulaient sur mes joues.
— Bon, à genoux et tâche de t’appliquer. Je ne serai pas toujours aussi compréhensif que hier.
— Oui Monsieur.
Quelques instants plus tard, je suçais frénétiquement le membre viril de Chandler ; une main sur ma nuque, il me dirigeait avec des mots crus et des insultes qui m’auraient fait rougir deux jours plus tôt. Ce qui me gênait, c’était la présence silencieuse de sa femme, je la savais à ma droite, surveillant mes faits et gestes. Heureusement, mon patron était excité ; ou alors je m’améliorais. Toujours est-il qu’après quelques minutes de succions et de caresses de la langue, je sentis sa bite se tendre et tressauter. Il empoigna ma nuque et me maintint en position tout le temps qu’il se vida de son sperme dans ma gorge. Je déglutis et nettoyai soigneusement son sexe qui commençait à débander.
— Mon cher, elle ne se débrouille pas si mal, pour une débutante.
— Oui, elle apprend vite.
— Je vais lui montrer sa nouvelle chaise de bureau, maintenant ! Elle est prête ?
— Je l’ai ...