1. Chloé à Paris (4)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... montée hier soir, ma tendre.
    
    Je me relevai, incertaine, les jambes tremblant un peu et les genoux douloureux. Je gardais la tête baissée, n’osant pas rencontrer le regard de l’épouse de Chandler. Après tout, je venais de prodiguer une fellation à son mari devant elle ; je rougis un peu, absurdement gênée. Après tout, ce n’était pas moi qui m’étais mise dans cette situation.
    
    Je remis ma robe sur un signe de mon patron et entrai dans mon bureau. Du premier coup d’œil, je constatai qu’effectivement mon fauteuil habituel avait été remplacé par une chaise en bois. Ma mâchoire se décrocha quand j’aperçus le cylindre noir fixé au centre de l’assise. Il s’agissait d’un gode lisse, dont la base semblait solidaire de la chaise.
    
    — Tu vois, petite salope ? interrogea Chandler. À partir d’aujourd’hui, tu travailleras avec un gode dans le fondement. Il va sans dire que, si celui-ci n’est pas très volumineux, rapidement tu apprendras à en accepter d’autres de plus en plus épais. Mon épouse a pensé à te procurer du lubrifiant spécial, tu y auras droit tous les matins. Tu ne la remercies pas, ingrate ?
    
    — Si… Je vous remercie, Madame, d’avoir apporté du lubrifiant.
    
    Ils voulaient que je perde ma virginité sur ce truc ? Je voyais ça plus romantique ; bien sûr, depuis que j’étais entre les pattes de Chandler, je savais que le romantisme n’était pas sa tasse de thé, mais quand même…
    
    — Donc tu lubrifies le gode et tu t’encules dessus. Si tu dois te lever, tu fais ce que tu as à ...
    ... faire puis tu le remets en place, mais sans lubrifiant. Compris ?
    
    — Je… je me… Oh mon Dieu ! Oui Monsieur…
    
    Ma voix chevrotait affreusement maintenant que j’avais compris toute la perversité de mon patron. Je reconsidérais le gode et le trouvai bien épais pour ce que j’allais devoir faire. J’ouvris le pot de lubrifiant, observant la pâte blanchâtre qui l’emplissait. Aucune odeur. Je plongeai un doigt dedans, c’était gras, épais, translucide. Je badigeonnai soigneusement le gode noir, qui était en plastique très dur. Il ne bougeait pas du tout, bien fixé sur ma chaise.
    
    Comment j’allais faire ? Eh bien ça s’est fait tout seul, assez facilement. Je me suis assise en guidant le bout effilé sur mon anus ; j’ai essayé de me décrisper quand j’ai senti que j’étais bien positionnée, et je me suis baissée. Voilà tout. Comme je m’y attendais, j’ai eu mal, une douleur vive a traversé mes reins, mais j’ai tenu bon et ne me suis pas relevée. Lèvres écartées sur un gémissement, j’ai fini de m’empaler jusqu’à me retrouver assise. Je m’aperçus alors que j’avais oublié de respirer et je repris mon souffle, tentant de calmer les battements de mon cœur.
    
    Je remuai un peu sur la chaise, la douleur avait diminué, mais je ne risquais pas d’oublier l’intrus qui taraudait mon fondement. En désespoir de cause je me plongeai dans un tapuscrit particulièrement abscons qui me permit de penser à autre chose qu’à mon anus envahi.
    
    Je ne me levai qu’à midi, m’extirpant en geignant du gode qui ...