1. Ce cher Gaston


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, frousses, rousseurs, jardin, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, vengeance, contrainte, vidéox, 69, préservati, pénétratio, double, fsodo, hgode, attache, baillon, fouetfesse, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... dit-elle.
    — Tu es étonnante, citer Edmond Rostand dans une telle situation.
    — C’est le vers idéal en cette situation.
    
    Je lui caresse les seins et me rends compte d’un détail capital. Ils sont juste à la taille de mes mains, et vice-versa.
    
    Nous nous retrouvons sous la douche et je lui caresse le dos et les fesses sous prétexte de la savonner.
    
    Mais à ce petit jeu, elle s’avère beaucoup plus redoutable que moi. Entre ses mains, le mâle n’est qu’un jouet qui se tend. Ses mains enduites de gel douche me rendent dingue.
    
    Quand elle s’estime satisfaite, elle me regarde et me dit, faussement implorante,
    
    — Encore un peu…
    
    Elle devient insatiable.
    
    Elle passe ses bras autour de la nuque de son homme et s’y suspend. Ses jambes entourent ma taille. Elle vient poser sa fleur sur ma tige. Je plaque mes mains sous les fesses et lui appuie le dos contre la paroi.
    
    Je guide tout de même de la main mon missile à tête chercheuse vers son silo.
    
    Juste un petit soupir signale son plaisir quand elle descend sur moi.
    
    Nous nous embrassons sans bouger, ma langue joue doucement avec la sienne.
    
    Tout mon être se retrouve concentré dans mon sexe. Je suis attentif à la moindre contraction autour de lui. Je la sens palpiter. Elle ondule et frotte son pubis contre le mien.
    
    Jamais je n’ai vécu un tel moment de tendresse.
    
    Une simple crispation, un léger « oh oui » murmuré me disent son plaisir.
    
    Je me relâche de nouveau dans son ventre.
    
    Je voudrais la tenir serrée ...
    ... contre moi une bonne partie de l’éternité. Nous nous embrassons longtemps encore alors que l’eau ruisselle sur nos corps.
    
    Avec regrets, je la repose par terre.
    
    Tout en expliquant en la séchant qu’avec tout le gel douche étalé sur le sol, c’est une position risquée, un coup à se péter une clavicule.
    
    Elle éclate de rire.
    
    — Qui ne risque rien, s’ennuie !
    
    Elle possède une âme de samouraï.
    
    — Il faut que tu m’accompagnes, chez moi. Gaston est resté enfermé depuis hier soir. Il va me faire la gueule et je ne tiens pas à l’affronter seul.
    
    De plus une petite pause s’impose. J’ai besoin de recharger mes accus. Je ne suis qu’un homme.
    
    Et autant mettre en pratique la maxime préférée de mon grand-père : « ne jamais trop faire l’amour le samedi, tu sais pas le temps qu’il peut faire dimanche »
    
    C’est toujours revêtu de la tenue de Cardinal que je prends ma voiture. Difficile de conduire avec cette soutane. Elle a quitté sa tenue de Jessica Rabbit pour une jupe et une veste en jean moins voyantes.
    
    J’imagine la tête du flic qui nous arrêterait. Arrêter le cardinal de Richelieu, revêtu de sa soutane ouverte, avec un caleçon blanc à petits cœurs rouges.
    
    J’informe ma jolie passagère de mes cogitations. Elle éclate de rire.
    
    Depuis hier soir, elle n’arrête pas de rire.
    
    Elle rayonne comme un soleil.
    
    C’est beau une femme heureuse. C’est beau une femme libérée.
    
    Arrivés chez moi, j’appelle le félin d’une voix douce.
    
    — Gaston, Gastounnet…
    
    Il s’approche, la ...