Ce cher Gaston
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
frousses,
rousseurs,
jardin,
amour,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
vengeance,
contrainte,
vidéox,
69,
préservati,
pénétratio,
double,
fsodo,
hgode,
attache,
baillon,
fouetfesse,
Humour
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... première, me précédant de quelques secondes. Elle ouvre la bouche, pousse un mignon petit cri, ses yeux se révulsent. L’espace de quelques secondes, elle est ailleurs.
Je dépose ma semence au plus profond de sa grotte rousse. J’ai la sensation d’être légèrement ivre.
Lorsque je reprends mes esprits, elle m’embrasse, me mordant doucement les lèvres.
Je caresse une paire de fesses douces comme de la soie en reprenant mon souffle, heureux.
Elle s’étire, soupire d’aise et s’assoupit sur moi, épuisée par toutes les émotions de la soirée.
Le dard sort doucement de son précieux réceptacle.
Je n’ai pas mis de protection, tant pis.
À Dieu vat, comme disait Saint Matthieu (du moins, si c’est lui qui l’a dit).
Je m’endors en serrant une tendre poupée entre mes bras.
ØØØØ
Une agréable odeur de café et de pain grillé me réveille.
Où suis-je ?
Je retrouve la mémoire lorsqu’une sublime créature entièrement nue entre dans la chambre, un plateau de petit déjeuner entre les mains.
Un rayon de soleil vient l’éclairer, illuminant sa peau claire, sa crinière et sa toison de feu. J’ai sous les yeux un Botticelli, un Véronèse, un Raphaël. Mais pas une peinture religieuse.
Maintenant c’est sûr, je vais bientôt ressembler à un Siffredi !
— J’ai fait du café, grillé quelques toasts, accompagnés de beurre et de confiture, je ne connaissais pas tes goûts, explique-t-elle en posant le plateau sur le lit.
— Servi comme cela, j’aime tout !
Tout en sirotant ...
... une tasse de café et grignotant une tranche de pain beurré nous nous embrassons, rions, nous chatouillons, puis passons aux choses sérieuses.
Nous partons à la découverte de l’autre, de nos corps. Hier soir, nous n’en avons pas eu le temps.
Un petit baiser par ci, une caresse par là.
Je me rends compte très vite qu’elle adore les baisers dans le cou. Je lui picore la nuque de petits bisous légers.
Tout son corps est recouvert de taches de rousseur. Même ses fesses et ses seins en sont piquetés. Ses aréoles claires sont aussi parsemées de petites lentilles rousses.
J’y passe une langue consciencieuse tandis qu’elle se laisse aller entre mes bras. Je décide d’embrasser chaque tache de rousseur, nous avons tout notre temps.
Il ne nous en faut pas plus pour nous retrouver en agréable position. Chiara est allongée, les fesses au bord du lit, moi agenouillé entre ses jambes écartées, un coussin posé sous les genoux, je tiens à mon confort.
Je détaille ma compagne ainsi offerte, impudique et belle. Il paraît que cette position se nomme « la chèvre au bord du précipice », pourquoi pas ?
Je dois ressembler à un Zoroastrien, priant devant le feu sacré.
Un peu inquiète au début, elle se rassure. J’ai le regard émerveillé d’un diabétique devant la vitrine d’une pâtisserie.
Je pose les mains sur ses épaules et commence par caresser ses seins, tel un souffleur de verre caresserait une coupe de cristal. Mes doigts frôlent les aréoles aux douces aspérités et les ...