1. Ce cher Gaston


    Datte: 31/03/2018, Catégories: fh, fhh, frousses, rousseurs, jardin, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, vengeance, contrainte, vidéox, 69, préservati, pénétratio, double, fsodo, hgode, attache, baillon, fouetfesse, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... main.
    
    Il ne m’en faut pas plus. À peine dans son appartement, elle se jette sur moi, arrache presque la soutane et me mordille les tétons.
    
    Je ne connaissais pas ce truc ! Elle me flanque la chair de poule.
    
    De mon côté, je ne reste pas inactif, sa robe vole à travers la pièce.
    
    Elle ne porte rien dessous !
    
    Chiara est vraiment une vraie rousse véritable ! Sa toison bien taillée brille de mille feux, son corps est constellé d’adorables éphélides. Je n’ai guère le temps de la détailler mieux.
    
    Mon caleçon ne résiste pas longtemps à ses doigts avides.
    
    Elle me pousse sur le lit et s’allonge sur moi, prend mon sexe entre ses mains et dépose de petits baisers sur le gland, le léchant de partout, passe un ongle délicat sur mes sœurs Brontë, puis happe mon engin, telle une friandise. Ses lèvres et sa langue sont un régal.
    
    Un joli paysage s’étale sous mes yeux.
    
    Une toison de flammes domine une délicate vallée, luisante, légèrement entrouverte dont la peau lisse appelle la caresse.
    
    De belles draperies attirent mon regard.
    
    N’ayant pas grand-chose à faire pour l’instant, je pars à la découverte de mon environnement et caresse du bout du doigt ce petit labyrinthe des délices.
    
    Le postérieur remue tandis qu’un faible gémissement retentit à l’autre bout !
    
    Elle s’ouvre telle une jolie fleur. Encouragé, j’écarte la douce cicatrice et viens titiller tout cela du bout de la langue, la vulve et ses petites lèvres que j’entrouvre, découvrent son petit grelot ...
    ... magique.
    
    Je l’embrasse, le chope, le serre entre mes lèvres, le dorlote, fais de même avec ses nymphes.
    
    Un ronronnement parvient à mes oreilles de mâle.
    
    Encouragé, j’intensifie mes caresses. Mais n’ose aller voir son petit œillet, elle en garde un trop mauvais souvenir.
    
    Il y a longtemps qu’elle ne s’occupe plus de mon gourdin, elle pose carrément sa bonbonnière ruisselante sur ma bouche.
    
    Une telle chaleur émane de son sexe que vais sûrement bronzer.
    
    Heureusement, elle vient de m’enduire de crème solaire.
    
    Je reste quand même sur ma faim, si j’ose m’exprimer ainsi.
    
    Elle se retourne, m’embrasse, s’assoit sur moi et s’empale d’un seul trait sur le menhir.
    
    — Je devrais peut-être mettre…
    — Pas le temps, rétorque-t-elle.
    
    Je la laisse diriger les opérations. Je suppose qu’elle suit une sorte de thérapie.
    
    Je caresse une délicieuse paire de seins tandis qu’elle pousse d’adorables petits gémissements. Je grogne aussi.
    
    Pas de fioritures, nous sommes deux bêtes sauvages luttant pour la survie de l’espèce.
    
    Elle s’agite sur moi comme une forcenée. Ses mains prennent appui sur mon torse, elle se soulève et se laisse retomber.
    
    Je me fais pilonner !
    
    Son bassin monte et descend sur mon membre de plus en plus vite, je ne pensais pas cela possible.
    
    J’ai sur moi une Walkyrie qui me chevauche. Peut-être que Wagner vécut la même expérience, qui sait ? Je vais écouter ses opéras différemment.
    
    Apocalypse… No ! Paradise…Yes !
    
    Elle arrive bonne ...
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