1. J'ai baisé une chienne, littéralement parlant (1)


    Datte: 20/03/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory

    ... que quelques instants et mouvements pour me rendre dur et j’invitais mon chien à venir près de moi, glissant mon sexe tendu près de son museau. Je pense qu’elle était tout aussi gênée que moi, si un chien peut ressentir cela. Elle ne savait pas comment réagir. Elle me donna quelques coups de langue dessus. Là où mes partenaires aimaient être proches de mon gland, la langue de Betsy, son nom d’emprunt dans le cadre de cette histoire, glissait vers la base, proche de mes testicules. D’autres sensations.
    
    J’alternais entre mes mouvements de mains sur ma verge et ses coups de langue. Mais je voyais que cela n’était pas trop à son goût, préférant de loin les caresses que je lui procurais quelques instants plus tôt. Et je dois avouer que même moi, je préférais la chaleur de ses cuisses. Je me mis sur les genoux, droit, et le sexe dans la main. Je savais ce que je voulais faire même si mon assurance n’était pas encore rendez-vous, vestige d’une très grande timidité à peine révolue. Elle bougeait beaucoup. Non pour se débattre mais venir me lécher le visage, parfois le sexe et ma hâte renforçait mon impatience. Ma frustration descendant mon envie. Je la tournais pour avoir une vue sur son derrière. Sa queue était levée, me donnant une certaine vue sur son anus et plus bas, son vagin, même si la vue était plus limitée. Je pense que son jeune âge la rendait active et rester dans cette position sans que je lui procure des caresses la faisait marcher dans le salon, bouger. Je lui ...
    ... caressais donc l’encolure. Son péché mignon. Cela la calmait toujours quand elle était trop excitée et courait partout.
    
    De mon autre main, je pris mon sexe et l’approchais doucement du sien. Je caressais son pelage, au niveau du sexe avant d’oser appuyer mon gland un peu plus et découvrir la chaleur de cette vulve et l’envie d’y pénétrer. J’avais peur. Peur de passer à l’acte. Je ne pense pas que cela était du dégoût. Plutôt la peur de transgresser un diktat de la société. Encore une fois, je prenais conscience que la frontière entre les vidéos devant lesquelles je me masturbais et l’acte était plutôt grande. Pour ne pas dire énorme. Je me sentais stupide. J’étais derrière elle, le gland posé sur l’entrée de son intimité et je n’arrivais pas à trouver le courage nécessaire pour atteindre la réalisation de ce fantasme. Je ne devais pas tarder. Je sais qu’elle ne sait pas rester en place, sauf quand elle dort. Lorsque mon sexe pressa contre le sien, dans le but de cette pénétration tant désirée, elle s’avança. Plus de surprise que de désagrément car elle lécha rapidement mon sexe, alimentant ce désir qui faisait rage dans mon bas-ventre. J’en avais vraiment envie. Je salivais sur ma main, me masturbant légèrement pour humidifier mon sexe. J’avais senti sa moiteur. Et comme son goût, cela me donnait vraiment envie. J’en perdais un peu la tête et tout ce manque d’assurance dont je faisais preuve précédemment.
    
    Je la remis en position sans y poser mon gland. Mes doigts encore ...