J'ai baisé une chienne, littéralement parlant (1)
Datte: 20/03/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
Une petite confession. Aujourd’hui, je vous écris mon histoire, ou plutôt, mon expérience. Mon histoire est longue et ennuyeuse. Mon expérience, sensationnelle et honteuse. Mais j’ai besoin d’en parler, de vous en parler.
Je m’appelle Nathan. Étudiant de vingt-deux ans dans une branche informatique. Dans mon élément, j’ai réussi mon année avec succès, ayant des vacances sans étude. Un peu casanier et anciennement, très timide, j’ai eu très peu d’expériences à mon actif. À la lecture de la suite, vous comprendrez que je sois un peu perdu par rapport à ce qui m’est arrivé.
Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours été curieux, ouvert sur bien des domaines de discussion, encore plus sur le sexe. Par hasard, vers la fin de mon adolescence, j’ai découvert la zoophilie à travers de vidéos. Je suis resté un certain temps à regarder des femmes se faire prendre par des chiens aux pattes habillées de chaussettes ou de femmes prenant les membres équins pour des godes charnels. J’y trouvais une grande excitation mais il manquait une certaine saveur. Un peu comme un gâteau sur lequel il manque la cerise. Un détail tendant vers la perfection. Mais cela me suffisait. Une fois la famille partie, j’allais sur mon ordinateur, baissant pantalon et boxer, m’asseyant sur ma chaise de bureau. Quelques vidéos plus ou moins artisanales et j’atteignais ce que je recherchais.
Pourtant, durant ce temps, je n’ai jamais porté un réel intérêt sur mes animaux à la maison. J’ai bien caressé la ...
... vulve de ma jeune chienne durant ses chaleurs. Mais là, j’avais déjà trouvé cette fameuse cerise et il m’a fallu un certain temps avant de le comprendre.
Après quelques mois de vidéos plus ou moins analogues, ma curiosité m’a porté vers la prise d’hommes. La fellation passait encore, ne me dégoûtait pas mais ne me faisait pas bander pour autant. Une sodomie canine sur un homme d’une trentaine d’années a éteint cette curiosité, ce n’était pas mon truc, ce n’était pas pour moi. De branlette en branlette, j’ai fini par chercher sur Internet et trouver des vidéos mettant en scène un homme actif, pénétrant l’animal. Je n’ai jamais autant ressenti de plaisir. J’en regardais de temps en temps, sans que cela devienne une obsession. C’est à partir de là que je caressais ma petite chienne durant ses chaleurs. Elle montait sur mes genoux et mes caresses glissaient vers sa petite vulve. Elle se frottait ou je la renversais sur le dos, rendant mes mouvements plus appuyés.
Un beau jour, comme tout autre jour, mes parents sont partis faire des courses ou aller à un rendez-vous. La raison importe peu. Ils étaient partis. J’avais envie mais savais qu’une énième branlette ne saurait pas me satisfaire. J’avais envie d’essayer. J’étais le sexe à l’air dans ma chambre et à ce moment, j’ai su que je ne voulais pas voir de vidéos. Je me rhabillais à la hâte et descendis les escaliers. J’avais également un labrador. Ou devrais-je dire, une. Encore jeune, deux ou trois ans. Un peu folle.
Je ...