J'ai baisé une chienne, littéralement parlant (1)
Datte: 20/03/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Master_of_Words, Source: Xstory
... me rendis près des fenêtres donnant sur la rue, fermant les rideaux. Un peu d’intimité. Je fis mine de m’asseoir sur le canapé. Ma grande chienne venant près de moi. La petite dormant dans son panier. Je n’allumais pas la télévision, mon habitude lorsque je descendais dans le salon. Les seuls moments où je m’installais dans le canapé. Quelques caresses anodines. Je me redressais un peu, glissant sur ses flancs, la grattant, descendant toujours un peu plus jusqu’à son entre-jambes. J’étais gêné. D’un côté, ça me révulsait et d’un autre, je voulais continuer. Je pris sur moi pour continuer cette exploration, ne me demandant pas si elle serait accomplie jusqu’au bout ou non, voulant aller le plus loin possible. Elle tournait sur elle mais ne se déroba pas, m’offrant un accès plus facile à mes doigts, son derrière tourné vers moi, sa langue pendante.
Malgré cela, je ne me sentais pas des plus rassurés. Je savais que je ne pourrais pas être surpris, je n’avais pas cette appréhension-là. Je pense que c’était une petite désillusion. Je croyais que la frontière entre le voyeurisme de telles pratiques et la réalité était plus mince. Je ne bandais pas vraiment mais mon envie était là. J’avais chaud. Mon bas-ventre était chaud et le sien, aussi. Mes doigts osèrent enfin toucher ce sexe défendu. Il était un peu comme la vulve de la petite. Assez doux. Mon doigt trouvait facilement son entrée. Je sentis des fourmillements traverser mon corps. Je repensais à ces vidéos. Les doigts des ...
... hommes étaient plus assurés. Les miens, non. Ou plutôt le mien à cet instant. Je caressais dans de petits mouvements de va-et-vient cette vulve. Parfois, elle se retirait avant de me regarder et revenir quémander ces caresses intimes. Je pense qu’elle mouillait. À moins que cela soit une illusion de mon esprit. Mais une chose est sûre, elle aimait. Et j’avais envie de tester un peu plus. Je portai mon doigt à mes lèvres et le suçota doucement. Je ne sais pas comment vous décrire le goût. Pourtant, ce n’était pas désagréable. Fort et fin, à la fois. À petites doses, cela était un nectar et je ne devais même pas essayer plus car je savais que cela me dégoûterait. Les saveurs explosaient dans ma bouche, j’avais un peu plus de confiance dans ce que je m’apprêtais à réaliser.
Une fois mon doigt humidifié, je le glissais à nouveau sur la vulve de ma chienne. Un ou deux mouvements avant de le glisser lentement en elle. Ne vous détrompez pas, je n’ai pas réussi du premier coup. J’ai dû m’y reprendre plusieurs fois avant qu’il glisse bien en elle et qu’elle ne bouge pas. Les premières fois, elle s’écartait, léchant ma main et comme pour les caresses, demandant implicitement que je recommence. Je le sentais à sa chaleur, également. Mon doigt n’était pas entièrement en elle. Mais c’était bon. Pour nous deux. Je continuais quelques instants et m’étonnais de me retrouver si prude et pressé que dans mon adolescence. Très vite, j’abandonnais son sexe pour découvrir le mien. Il ne fallut ...