1. Pensées pour moi-même (2)


    Datte: 18/03/2020, Catégories: fhh, vacances, hotel, hsoumis, fdomine, Oral journal, Auteur: camilleM, Source: Revebebe

    ... centimètres seulement) lorsque le fil du récit avait trop tendance à se déliter, me réapprochant quand il recommençait, et avançant progressivement, au fur et à mesure de la narration, le long de ce gros membre en ce moment-là on ne peut plus viril. Enfin, à chaque fois qu’il passait d’une fille à l’autre, je sortais sa queue, lui passait très lentement la langue, depuis la base des couilles jusqu’au sommet, et, le regardant droit dans les yeux, je terminais par la phrase :
    
    — Et maintenant parle-moi de la suivante.
    
    Bien entendu, mes mains ne restaient pas immobiles (« ne pouvaient pas rester », serait une expression plus correcte), il fallait qu’elles bougent. Tout ce qui était à portée y est passé : elles avaient de fait perdu tout sens de l’orientation, le seul point de ralliement que leur était encore disponible étant cette queue qui commençait maintenant à vouloir se mouvoir lentement d’avant en arrière (je le retenais régulièrement mais aussi rapidement, le mouvement d’oscillation semblait vouloir à chaque fois repartir) : les testicules furent malaxés et encore malaxés, la queue elle-même fit l’objet de façon périodique d’une prise en main de toute évidence jugée intéressante par l’observateur du dessus (qui dans ces moments avait besoin d’un souffleur pour poursuivre son récit), les poils entre le nombril et ce sexe qui satisfaisait ma gourmandise étaient tirés à l’occasion, les fesses voyaient elles aussi mes mains les passer régulièrement dessus, enfin, outre ...
    ... son buste et ses jambes de toute apparence moins sensibles, l’irruption soudaine et inattendue pour Jean-Philippe d’un de mes doigts près de son anus provoquait des réactions de contraction dont je ne pouvais déterminer si elles étaient une invitation à poursuivre ou une injonction d’arrêter. Une chose à la fois, me suis-je alors dit, nous approfondirions la chose plus tard si l’occasion s’en présentait.
    
    À l’entendre (enfin, quand je le pouvais), je compris en ce moment que Jean-Philippe était soit un très chaud lapin (comme on dit quand on parle d’un mec), soit un sacré vantard. Des huit filles dont il me parla, en décrivant sommairement les plus beaux attributs corporels de chacune d’elles (les beaux nichons de Maria, les beaux petits culs de France et d’Alicette et le nettement plus gros d’Angela, le clitoris hors norme de Caroline, etc.), il m’apprit, entre deux souffles courts, que toutes avaient accompli ce que je lui faisais au moment même (peut-être de façon moins sophistiquée toutefois), que Sophie était la plus perverse (il était accompagné de trois potes à lui quand elle lui a fait l’honneur de le faire entrer dans son intimité), que (si j’avais bien compris) il en avait sodomisé au moins la moitié (en fait quand il parlait de cul, je ne comprenais pas toujours s’il s’agissait de sodomie ou seulement de « simple » fornication). Avec l’une d’entre elles (Maria si je me souviens bien), il avait pris son pied quatre fois au cours d’une même nuit (et c’est notamment ...
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