Pensées pour moi-même (2)
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
fhh,
vacances,
hotel,
hsoumis,
fdomine,
Oral
journal,
Auteur: camilleM, Source: Revebebe
... minorité de femmes dont je fais partie, je ne peux mieux comparer cela qu’à une viennoiserie que tu te tapes à la terrasse d’un salon de thé en compagnie de ta meilleure amie, sans te soucier de savoir si cela aura des conséquences sur ta ligne ou non.
D’abord, pour la viennoiserie, je pense que le fait d’avoir comme cela un objet dans la bouche (il faut bien le reconnaître, à ce moment-là, toute queue devient un objet pour la femme qui l’adopte) ne peut manquer d’être comparé à une satisfaction, si pas gustative, au moins tactile. D’une certaine façon, un objet rond comme cela, qui te remplit presque entièrement la bouche, c’est une sorte de renvoi aux souvenirs de la petite enfance, quand nous tétions le sein de notre mère et qu’en faisant cela, nous recevions la meilleure récompense possible : son lait, sa protection et sa chaleur. Ou encore, si tu le préfères, c’est un peu comme si nous continuions à l’âge adulte à sucer notre pouce.
La compagnie de la meilleure amie, ensuite, c’est celle de l’homme avec qui tu partages ce plaisir : je ne suis pas un homme et je ne sais pas définir avec beaucoup de précision en quoi la chose est tellement jouissive. Ceci dit, j’ai bien mes petites idées pour expliquer cet engouement.
D’abord, j’ai remarqué que pour les frustrer, il suffit de leur faire une fellation sans qu’ils puissent voir ton visage : ça les énerve, tu ne peux pas imaginer ! Ils veulent enlever tes cheveux, ils se contorsionnent (et risquent pour le coup de ...
... perdre tout). J’en conclus donc que l’aspect visuel est primordial.
On peut par exemple supposer que le fait d’utiliser la bouche (qu’ils voient tous les jours, contrairement au reste) à un usage non initialement prévu par la nature est la concrétisation d’une chose qu’ils imaginent lorsqu’ils te regardent parfois de façon un peu trop appuyée. On peut aussi se dire que l’association entre ce qui est le plus intime chez eux (et ce dont ils sont le plus fiers), d’une part, et ce qui est le moins caché chez les femmes, d’autre part, est un contraste pour le moins saisissant. On peut également supposer que l’association d’une chose aussi brute et aussi peu raffinée que leur queue et d’une autre chose aussi belle que le visage d’une femme leur donne probablement l’occasion de se taper un remake de la Belle et la Bête. Je ne vais pas épiloguer plus longtemps là-dessus, mais franchement, ça ressemble à une sorte de summum et ce serait dès lors stupide, quand tu n’es pas dégoûtée, de ne pas être à l’origine d’un tel plaisir.
Enfin, en ce qui concerne l’allusion à l’absence de scrupule sur les conséquences pour ta ligne : c’est tellement bon de pouvoir faire des choses que la morale bien-pensante repousse, surtout quand personne n’est en mesure de te reprocher quoi que ce soit, dès lors que personne ne peut te dénoncer (sauf l’homme en question, mais il aurait bien tort de se couper ainsi d’une amie très, très proche). Après tout, si tu regardes les femmes que tu croises dans la ...