Finement looong
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourdura,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... bien, tout au moins maintenant. Hélas, au début de notre mariage, comme le démontra un nouvel examen approfondi des fonctions cérébrales, il a fallu se résoudre à débrancher David, ça n’a pas été une partie de plaisir, puis la vie a repris à nouveau ses droits. Nous avons deux beaux enfants qui s’entendent très bien avec Céline, leur demi-sœur. Nous formons une belle petite famille. L’accident de la mare-à-bestiaux est quasiment oublié.
Je suis toujours aussi fou de mon Emma qui me le rend bien. Souvent, nous faisons des séances torrides de sport en chambre, comme maintenant.
Nous sommes étendus, nus, sur le lit. Je la caresse, tout en déposant ci et là des baisers sur son ventre, ses seins, son cou… Soudain elle se redresse pour s’asseoir. Je suis le mouvement, sans cesser de patiner son doux corps que j’aime tant. Elle pose son doigt sur l’arête de mon nez, elle en suit la descente avant de glisser sur mes lèvres :
— C’est étrange quand même, la vie… Nous avons bâti notre famille sur la mort d’une autre… Je me demande parfois si j’ai le droit d’être heureuse…
— Arrête de te torturer comme ça, Mamounette, c’est arrivé comme ça, tu n’y es pour rien.
— Oui, je sais mais ça me… enfin…
Je prends sa tête entre mes mains :
— Répète-moi la fin de ton avant-dernière phrase, ma chérie…
— Que nous avons bâti notre famille ?
— Non, juste après…
— Ah oui… je me demande parfois si j’ai le droit d’être heureuse ?
J’approche son visage du mien, elle pose ses mains ...
... sur les miennes, je lui souris :
— Donc tu es heureuse…
— Oui, je suis heureuse avec toi !
— C’est le principal ! Céline aussi est heureuse et nos enfants aussi. C’est tout ce qui compte !
Elle me donne un baiser furtif :
— Tu as raison ! Je suis très heureuse de t’avoir rencontré ! Mais pourquoi moi ?
— Parce que je suis très bien avec toi, parce que je t’aime…
— Quand on s’est rencontré, tu avais trente-six maîtresses, il me semble !
— Tu exagères ! Ça n’a jamais dépassé les doigts d’une seule main !
Elle ôte ses mains des miennes pour les poser derrière elle, ses seins dardés vers moi :
— C’est quand même pas mal, Don Juan… Et il y avait un certainturn-over dans tes conquêtes, Monsieur aimait bien le changement et la variété !
— Sauf toi, je te signale ! Sauf toi !
— C’est vrai que… Le pire, c’est que je n’avais aucun remords de tromper Robert !
Je fais semblant de la gronder :
— Eh bien, ne t’avise pas d’essayer de me tromper, petite impertinente !
— Ah bon, pourquoi ? Il va m’arriver aussi un accident ?
Surpris, je me raidis, je lâche son visage. Elle me regarde d’une façon un peu curieuse. C’est elle qui rompt le silence avant moi :
— Excuse-moi, j’aurais pas dû dire ça comme ça. Mais bon, je suppose que tu connais les potins de certaines personnes dans le village…
— Oui, je sais : j’ai trucidé ton premier mari pour pouvoir mettre la main sur toi.
— Ce n’est pas ce que tu as fait ? Je veux dire, mettre la main sur moi ?
— Je reconnais ...