Finement looong
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourdura,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... petits machins l’empêchent plus ou moins d’aller refaire sa vie ailleurs, et contrairement aux chatons, on ne pouvait pas les noyer à la naissance. Ceci dit, noyer des chatons, ça, je ne pourrais pas. Son homme, si, sans problème ! C’est un premier point qui nous différencie. Pour le sexe, j’ai cru comprendre qu’il est du style « couche-toi-là-que-je-m‘y-mette ». C’est un deuxième point qui nous différencie, car la pratique de la sodomie exige la plupart du temps de longs préliminaires. Et comme j’aime prodiguer des préliminaires, Emma en profite et en redemande.
— Tu songes à quoi, Loulou ?
Loulou, c’est moi. Ça n’a rien à voir avec mon prénom, Jérôme, mais les petits noms doux ne sont pas toujours très logiques.
— À nous, justement, Mamounette (c’est tout ce que j’ai pu trouver de raisonnable avec son prénom, je ne pouvais pas me permettre Mama ou Mémé…).
— À nous ? Comment ça ?
Nous sommes dans mon salon, assis sur le canapé. Nous avons environ deux heures devant nous. Nous étions en train de parler d’un peu de tout. Je m’approche un peu plus d’elle, pour la tenir par la taille :
— Je me disais que… comment dire ça… enfin que c’était con de ne pas t’avoir rencontrée plus tôt…
— Comment ça, Loulou ?
— Tu es vraiment une chouette fille, et tu ne mérites pas d’être marié avec ton gugusse.
— On en a déjà parlé, Loulou, il y a les enfants…
Je la serre un peu plus contre moi :
— Je sais, mais tu ne mérites pas un tel énergumène !
— Parce que toi, tu ...
... te proposerais de m’épouser ? Toi et tes multiples conquêtes ?
— Tu en es une : la meilleure !
— Tu n’es qu’un vil flatteur !
Je l’embrasse pour la faire taire, puis je la couche sur le canapé. Elle se laisse faire. Petit à petit, je la déshabille, révélant sa peau que j’aime beaucoup goûter. Emma est incontestablement une femme avec qui j’adore faire l’amour ; de plus, j’aime sa compagnie, sans que ce soit forcément sexuel. Parfois, je me demande si, finalement, ce n’est pas elle, ma promise, comme on dit dans les romans précieux et datés.
Pour l’instant, je suis plus terre à terre avec ce splendide corps à ma disposition.
Peu après, comme un lit est nettement plus confortable qu’un canapé, nous poursuivons nos petits jeux dans ma chambre.
Niché entre ses jambes, je m’offre une bonne dégustation de son appétissant fruit bien mûr et dégoulinant. Je sais qu’elle aime, et elle me le démontre très bien en écartant plus encore ses jambes et en pressant ma tête contre son sexe détrempé.
— Oh que c’est bon mon Loulou !
Alors je continue…
Je fourrage éhontément de ma langue toute son intimité détrempée. J’aime boire son onctueuse cyprine, la cueillir, m’en mettre plein les lèvres, plein la bouche. J’adore agacer son petit bouton rose, le décalotter, le titiller, le harceler, le tourmenter tandis qu’elle gémit et qu’elle tressaille sous ma douce mais implacable torture !
Sa cyprine dégouline vers son sillon fessier, ce qui fait honteusement mes affaires. Je ...