1. Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement (2)


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... n’ai pas pu me retenir de coller ma langue pour récupérer le plus de nectar possible.
    
    Quand j’ai commencé à passer aux choses sérieuses, j’ai réalisé que Patricia n’attendait que ça, elle était limite à s’impatienter que je passe à l’acte. Quand j’ai commencé à poser ma langue sur sa toison toute poisseuse, ma chef m’a saisi la tête pour que je ne quitte plus cette position. Son clitoris ainsi que ses alentours étaient d’une sensibilité que je ne lui connaissais pas. Je pense qu’elle était excitée par le risque que nous prenions à nous faire surprendre, elle prenait sur elle et ne montrait rien. il y avait des sécrétions de cyprine qui étaient limite gluantes, mais je ne vous raconte pas le goût qu’elles avaient, c’était du concentré de nectar de femme. Rapidement elle s’est mise à soupirer de plaisir, je peux vous garantir que quand vous êtes dans ma position, vous êtes content de constater que ce que vous faites fait de l’effet à votre partenaire. De temps à autre je donnais un petit coup de langue dans le vagin pour récupérer le plus de jus, mais dans l’ensemble je m’attardais essentiellement sur son petit mont de Vénus.
    
    Je peux vous avouer que j’ai été un peu rassuré de constater que Patricia était en train de commencer à prendre son pied. Je savais maintenant que nous ne nous ferions pas prendre en flagrant délit et j’étais quand même content que nous ayons fait ça dans la salle de formation. Je savais que quand nous allions reprendre les cours cet après-midi, la ...
    ... pièce allait sentir la femme. Ma chef a réussi à ne pas crier, mais par contre elle m’a écrasé le visage contre sa figue toute huileuse. Quand elle m’a libéré le visage, c’était pour me permettre de me relever et de venir l’embrasser, je réalisais que j’avais du jus de minou partout sur le visage, sur le front, sous le menton et même un peu le cou. J’étais debout face à elle et s’approchait de moi, je pense que dans cette position, elle sentait mon sexe à travers mon pantalon.
    
    Par contre j’étais en train de réaliser qu’elle allait me mettre plein de mouille sur mon pantalon. Nous nous sommes embrassés avec passion un long moment, avant qu’elle ne me libère pour m’envoyer aux sanitaires pour que je me lave la figure. Il m’a bien fallu dix bonnes minutes pour me rafraîchir le visage et heureusement il y avait une petite grattounette jaune et verte pour que je puisse nettoyer l’avant de mon pantalon à l’eau bouillante de telle façon à ce que cela sèche rapidement. Au moment où je revenais, les stagiaires étaient en train de revenir, nous avions eu un timing parfait. Nous avons réintégré nos places dans la salle, les regards que me lançaient Patricia étaient pleins de sous-entendus. Au bout d’un certain temps, j’étais étonné que cela sente fort le minou, mais j’ai réalisé que j’avais gardé la petite culotte de Patricia dans ma poche. Tellement cette pièce de tissu était imbibée de cyprine que juste le fait de la toucher dans ma poche m’a mouillé les doigts. J’étais désormais ...
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